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Un Assassin qui passe

G
1981
100% est d'accord avec la cote
Un commissaire de police enquête sur une série de meurtres similaires dont les victimes sont des femmes.
Orientation plus psychologique que policière. Approche mélancolique. Mise en scène appliquée. Interprétation retenue et nuancée.

L'avis de Mediafilm

L'orientation du traitement est plus psychologique que policière, l'auteur tissant entre les personnages un réseau de correspondances dans les situations et le comportement. Cela n'exclut pas le suspense, mais la tension se fond le plus souvent dans une approche dominée par la mélancolie. Il en résulte un film d'un ton très particulier, présenté dans une mise en scène appliquée où se fait sentir l'art du directeur de la photographie Bruno Nuytten. L'interprétation est à la fois retenue et nuancée.

Robert-Claude Bérubé

Synopsis

Le commissaire de police Ravic mène une enquête frustrante sur une série de meurtres similaires dont les victimes sont des femmes de conditions diverses. L'assassin est un jeune employé de banque, Jacques, qui souffre de solitude et cède par moments à des accès de folie meurtrière. Il collectionne les photos d'une actrice, Pauline, dont il est secrètement épris. La figure couverte d'un masque, il s'introduit chez Pauline et la force à se dévêtir, mais ne pousse pas plus loin son audace. Mis au courant de l'incident, Ravic établit une surveillance autour de Pauline dans l'espoir que l'homme tentera une nouvelle visite.

Année

1981

Genre

Drame policier

Durée

105 min.

Origine

France