Remarquable

Un Amour infini (Endless Love)

Name: Amour infini, Un
Director: Franco Zeffirelli
Genre: Drame psychologique
Duration: 115 min.

É.-U. 1981. Drame psychologique de Franco Zeffirelli avec Martin Hewitt, Brooke Shields, Shirley Knight. Follement épris de la soeur de son meilleur ami, un adolescent entame avec elle une relation amoureuse, toutefois compromise par l'intransigeance du père de la jeune fille. Traitement d'un romantisme appuyé. Accents mélodramatiques. Mise en images soignée. Jeu intense de M. Hewitt.

Un Amour infini (Endless Love)

Général

É.-U. 1981. Drame psychologique de Franco Zeffirelli avec Martin Hewitt, Brooke Shields, Shirley Knight.

Follement épris de la soeur de son meilleur ami, un adolescent entame avec elle une relation amoureuse, toutefois compromise par l'intransigeance du père de la jeune fille. Traitement d'un romantisme appuyé. Accents mélodramatiques. Mise en images soignée. Jeu intense de M. Hewitt.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1981

Durée :

115 min.

Réalisation :

Franco Zeffirelli

Scénario :

Judith Rascoe
D'après le roman de Scott Spencer

Photographie :

David Watkin

Musique :

Jonathan Tunick

Montage :

Michael J. Sheridan

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Universal

Interprètes :

Martin Hewitt
Brooke Shields
Shirley Knight
Don Murray
Richard Kiley
Beatrice Straight

Un adolescent, David, s'est follement épris de Jade, la soeur de quinze ans de son camarade Keith. Bien accueilli dans la famille de Jade, il en profite pour avoir avec elle des relations amoureuses poussées, sous l'oeil indulgent de sa mère. Le père de Jade ne l'entend pas de cette oreille et défend à David de remettre les pieds chez lui. Dépité, David met le feu à la maison. On le soumet de force à un traitement psychiatrique. En cherchant à revoir Jade après deux ans de clinique, David cause accidentellement la mort du père de sa bien-aimée.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Franco Zeffirelli semble avoir voulu renouveler dans un cadre moderne le succès de son adaptation de Roméo et Juliette. La mise en images est particulièrement soignée mais, en simplifiant la construction complexe de l'oeuvre originale et son orientation subjective, le réalisateur et sa scénariste ont en quelque sorte banalisé le sujet. Il en résulte que divers passages prennent des accents mélodramatiques et que certains développements n'apparaissent guère vraisemblables. Martin Hewitt a un jeu intense qui correspond bien au personnage.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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