Remarquable

Passion d'amour (Passione d'amore)

Name: Passion d'amour
Director: Ettore Scola
Genre: Drame sentimental
Duration: 118 min.

It. 1980. Drame sentimental de Ettore Scola avec Bernard Giraudeau, Valeria d'Obici, Jean-Louis Trintignant. En 1862, un officier de cavalerie est poursuivi par les attentions d'une femme d'une laideur exceptionnelle. Sujet insolite. Climat d'époque bien créé. Mise en scène rigoureuse. Interprétation convaincante.

Passion d'amour (Passione d'amore)

Général

It. 1980. Drame sentimental de Ettore Scola avec Bernard Giraudeau, Valeria d'Obici, Jean-Louis Trintignant.

En 1862, un officier de cavalerie est poursuivi par les attentions d'une femme d'une laideur exceptionnelle. Sujet insolite. Climat d'époque bien créé. Mise en scène rigoureuse. Interprétation convaincante.

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Genre :

Drame sentimental

Année :

1980

Durée :

118 min.

Réalisation :

Ettore Scola

Scénario :

Ruggero Maccari
Ettore Scola
D'après le roman de Iginio Ugo Tarchetti

Photographie :

Claudio Ragona

Musique :

Armando Trovajoli

Montage :

Raimondo Crociani

Pays :

Italie
France

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Bernard Giraudeau
Valeria d'Obici
Jean-Louis Trintignant
Laura Antonelli
Massimo Girotti
Bernard Blier

En 1862, un officier de cavalerie, Giorgio Bacchetti, entretient une liaison avec une femme mariée, Clara. Muté dans un poste éloigné au Piémont, il partage les repas de son colonel et s'étonne d'un couvert jamais utilisé. Une cousine du colonel, Fosca, habite sa maison mais, maladive, se joint rarement aux convives. Lorsqu'il la rencontre enfin, Giorgio constate que Fosca est d'une laideur exceptionnelle. Cette femme s'attache pourtant à lui et le poursuit de ses attentions. Fort réticent au départ, Giorgio finit par se laisser vaincre.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Voilà un sujet pour le moins insolite. Délaissant momentanément les problèmes contemporains, Ettore Scola a choisi d'adapter une fiction inachevée d'un écrivain piémontais du siècle dernier. Il a donné à son film l'allure d'un conte fantastique teinté d'un romantisme noir. La progression implacable du récit emporte la conviction grâce au soin mis à la précision dans les détails. Bernard Giraudeau joue avec retenue, Jean-Louis Trintignant fait une composition intéressante et Valeria d'Obici étonne par sa laideur émouvante.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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