Le Pré (Il Prato)

Name: Pré, Le
Director: Paolo Taviani, Vittorio Taviani
Genre: Drame social
Released: 2010-11-19 14:18:24
Duration: 115 min.

It. 1979. Drame social de Paolo Taviani, Vittorio Taviani avec Saverio Marconi, Isabella Rossellini, Michele Placido. Deux hommes lient amitié et acceptent de partager les faveurs d'une jeune femme. Mélange de réalisme et de poésie. Traitement lyrique. Ton d'ensemble plutôt mélancolique. Bons interprètes.

Le Pré (Il Prato)

Général

It. 1979. Drame social de Paolo Taviani, Vittorio Taviani avec Saverio Marconi, Isabella Rossellini, Michele Placido.

Deux hommes lient amitié et acceptent de partager les faveurs d'une jeune femme. Mélange de réalisme et de poésie. Traitement lyrique. Ton d'ensemble plutôt mélancolique. Bons interprètes.

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Genre :

Drame social

Année :

1979

Durée :

115 min.

Réalisation :

Paolo Taviani
Vittorio Taviani

Pays :

Italie

Distributeur :

Vivafilm

Interprètes :

Saverio Marconi
Isabella Rossellini
Michele Placido

Giovanni se rend en Toscane pour régler la vente d'une propriété familiale. À San Geminiano, il s'attache à une jeune femme, Eugenia, qui anime un spectacle populaire. Mais Eugenia est déjà liée à Enzo, un agronome aux méthodes contestataires. Une amitié sincère lie bientôt les deux hommes qui se partagent les faveurs d'Eugenia. Après être rentré à Milan, Giovanni a des nouvelles d'Eugenia et d'Enzo qui ont décidé de partir en Algérie. En allant les retrouver avant leur départ, Giovanni est mordu par un chien enragé et néglige de se soigner.

L’AVIS DE MEDIAFILM

À l'encontre du style austère de PADRE PADRONE, ce nouveau film des frères Taviani se laisse aller au lyrisme et au plaisir de la beauté des relations et des paysages. Les auteurs tentent de trouver une oasis où soigner des jeunes gens en proie au mal de vivre face aux déficiences de leur société. Leur traitement mêle le réalisme et la poésie et l'on y trouve une jolie évocation de la légende du joueur de flûte aussi bien qu'un hommage ému à Roberto Rossellini. Le ton d'ensemble est plutôt mélancolique même si l'on y remarque la beauté radieuse d'Isabella Rossellini, quasi sosie de sa mère Ingrid Bergman.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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