Remarquable

Le Palais à cinq sous (Nickelodeon)

Name: Palais à cinq sous, Le
Director: Peter Bogdanovich
Genre: Comédie
Duration: 122 min.

É.-U. 1976. Comédie de Peter Bogdanovich avec Ryan O'Neal, Burt Reynolds, Jane Hitchcock. En 1910, un avocat devient réalisateur de films et entre en conflit avec un acteur pour l'amour d'une jeune fille. Hommage aux temps héroïques du septième art. Scénario plutôt décousu. Traitement alerte. Interprétation honorable.

Le Palais à cinq sous (Nickelodeon)

Général

É.-U. 1976. Comédie de Peter Bogdanovich avec Ryan O'Neal, Burt Reynolds, Jane Hitchcock.

En 1910, un avocat devient réalisateur de films et entre en conflit avec un acteur pour l'amour d'une jeune fille. Hommage aux temps héroïques du septième art. Scénario plutôt décousu. Traitement alerte. Interprétation honorable.

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Genre :

Comédie

Année :

1976

Durée :

122 min.

Réalisation :

Peter Bogdanovich

Scénario :

W.D. Richter
Peter Bogdanovich

Photographie :

Laszlo Kovacs

Musique :

Richard Hazard

Montage :

William C. Carruth

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Astral

Interprètes :

Ryan O'Neal
Burt Reynolds
Jane Hitchcock
Tatum O'Neal
Brian Keith
Stella Stevens
John Ritter
Jack Perkins
Brion James

En 1910, un jeune avocat, Leo Harrigan, est mêlé par hasard aux tribulations d'un producteur de films indépendant, H.H. Cobb, harassé par les hommes de main d'un trust. Les circonstances le poussent à devenir réalisateur et il engage comme acteur un cowboy, Buck Greenway, qui s'était mis au service du trust. Les deux hommes rivalisent pour l'amour d'une jeune actrice, Kathleen Cooke, qui accorde sa préférence à Buck. Après avoir travaillé de concert, les deux amis se séparent brouillés pour se réconcilier à l'occasion de la première du film "Birth of a Nation" de Griffith en 1915.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Historien et critique de cinéma avant de devenir réalisateur, Peter Bogdanovich (THE LAST PICTURE SHOW) semblait tout désigné pour réaliser cet hommage aux temps héroïques du septième art. À travers une affabulation fictive, le réalisateur insère des incidents ou répliques empruntés aux expériences réelles de divers cinéastes. Le scénario apparaît épisodique et plutôt décousu, mais l'ensemble ne manque pas d'intérêt tant en vertu du sujet abordé que grâce à un traitement alerte dans la tradition du slapstick. Les acteurs s'acquittent honorablement de rôles simplifiés.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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