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L'Homme qui venait d'ailleurs (The Man Who fell to Earth)

G.-B. 1976. Science-fiction de Nicolas Roeg avec David Bowie, Rip Torn, Candy Clark. Un extraterrestre vivant incognito sur la Terre met sa vie en danger lorsqu'il offre à un avocat new-yorkais des plans d'inventions révolutionnaires. Récit ambigu prétexte à un exercice de style insolite. Passages fascinants. D. Bowie fort bien utilisé dans le rôle-titre.

13 ans + (érotisme)
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L'Homme qui venait d'ailleurs (The Man Who fell to Earth)

13 ans + (érotisme) 13 ans + (érotisme)

G.-B. 1976. Science-fiction de Nicolas Roeg avec David Bowie, Rip Torn, Candy Clark.

Un extraterrestre vivant incognito sur la Terre met sa vie en danger lorsqu'il offre à un avocat new-yorkais des plans d'inventions révolutionnaires. Récit ambigu prétexte à un exercice de style insolite. Passages fascinants. D. Bowie fort bien utilisé dans le rôle-titre.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Paul Mayersberg
D'après le roman de Walter Tevis
Photographie :
Montage :
Pays :
Distributeur :
Ambassador
Un certain Newton offre à un avocat de New York, Farnsworth, des plans d'inventions révolutionnaires. Farnsworth met sur pied un complexe d'entreprises que Newton dirige par téléphone après s'être retiré au Nouveau-Mexique avec une amie de rencontre. Celle-ci découvre que son compagnon est un extra-terrestre venu d'une lointaine planète. Le secret de Newton est aussi décelé par un de ses employés et une industrie rivale le fait enlever. Privé des moyens voulus pour retourner dans son propre monde, Newton poursuit sur la Terre une existence désabusée.

L’AVIS DE MEDIAFILM

À partir d'un roman de science-fiction, Nicolas Roeg a réalisé un nouvel exercice de style où se manifeste son goût du mystère et de l'ambiguïté. Le récit progresse par touches allusives et exige du spectateur un continuel effort de réflexion. Si certains passages apparaissent plus prétentieux que révélateurs, l'ensemble ne laisse pas d'être intéressant et même fascinant pour qui veut se prêter au jeu. Le chanteur David Bowie, avec ses allures d'androgyne, est parfaitement utilisé dans le rôle-titre.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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