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Vincent mit l'âne dans un pré

G
1975 ·
100% est d'accord avec la cote
Alors qu'il accable sa compagne de scènes de jalousie, un jeune homme commet diverses bourdes en voulant intervenir dans la vie sentimentale de son père.
Récit ambigu à la conclusion brusquée. Personnages aux réactions imprévisibles. Ensemble plus capricieux que révélateur. Interprétation un peu artificielle de F. Luchini.

L'avis de Mediafilm

Encore une histoire d'écorché vif que ce premier film d'un jeune réalisateur. Pratiquant semble-t-il une certaine théorie de l'absurde, Pierre Zucca met en scène des personnages aux réactions imprévisibles et compose un récit ambigu à la conclusion brusquée dont la construction, pour insolite qu'elle soit, n'est guère satisfaisante. Il y a ça et là des scènes réussies et la marque d'un talent prometteur, mais l'ensemble s'avère plus capricieux que révélateur. L'interprétation de Fabrice Luchini apparaît artificielle en contraste avec le jeu simple et naturel de sa partenaire.

Robert-Claude Bérubé

Synopsis

Vincent Vergne vit en banlieue de Paris avec son père quasi aveugle qui fabrique des sculptures pour jardin. Son amie Bénédicte le pousse à s'installer en ville dans un appartement, mais Vincent, tout en accédant à ce désir, continue à travailler pour son père et retourne souvent chez lui. Il soupçonne celui-ci de duplicité et croit surprendre une liaison entre lui et une femme mystérieuse. Par ailleurs, il accable Bénédicte de scènes pénibles à cause d'une jalousie mal contrôlée. En voulant intervenir dans la vie sentimentale de son père, il n'arrive qu'à commettre de nouvelles bourdes.

Année

1975

Genre

Drame

Durée

105 min.

Origine

France