Remarquable

At Long Last Love

Name: At Long Last Love
Director: Peter Bogdanovich
Genre: Comédie musicale
Duration: 105 min.

É.-U. 1975. Comédie musicale de Peter Bogdanovich avec Burt Reynolds, Cybill Shepherd, Madeline Kahn. Les aventures de deux couples dans le New York des années 1930. Situations artificielles. Effort d'évocation des comédies musicales d'antan. Ensemble sympathique. Faiblesses dans l'interprétation.

At Long Last Love (At Long Last Love)

Général

É.-U. 1975. Comédie musicale de Peter Bogdanovich avec Burt Reynolds, Cybill Shepherd, Madeline Kahn.

Les aventures de deux couples dans le New York des années 1930. Situations artificielles. Effort d'évocation des comédies musicales d'antan. Ensemble sympathique. Faiblesses dans l'interprétation.

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Genre :

Comédie musicale

Année :

1975

Durée :

105 min.

Réalisation :

Peter Bogdanovich

Scénario :

Peter Bogdanovich

Photographie :

Laszlo Kovacs

Musique :

Cole Porter

Montage :

Douglas Robertson

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Bellevue

Interprètes :

Burt Reynolds
Cybill Shepherd
Madeline Kahn
Duilio del Prete
Eileen Brennan
John Hillerman
Mildred Natwick
M. Emmet Walsh
Liam Dunn

À New York dans les années 1930, un playboy millionnaire, Michael Oliver Pritchard, fait la rencontre d'une chanteuse, Kitty O'Keily, avec laquelle il entame une liaison. De son côté, Brooke Carter, jeune héritière en difficulté financière, a une aventure avec un Italien entreprenant, Giovanni Spagnoli dit Johnny Spanish. Les circonstances ayant rapproché les deux couples, Michael s'attache à Brooke et Kitty se console avec Johnny.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce ne sont pas tant les années 1930 que Peter Bogdanovich évoque dans ce film que le cinéma américain de cette époque tel qu'illustré dans les comédies et les films musicaux. Il ne faut donc pas se surprendre de l'artificiel des situations et des personnages, non plus que de la ténuité du scénario. Le film se veut un hommage affectueux à un genre particulier et en évoque avec soin le style tant dans les décors que dans le découpage et le montage. C'est un exercice un peu vain peut-être et alambiqué, mais qui apparaît sympathique en dépit de faiblesses dans l'interprétation.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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