Remarquable

Délices (Turks Fruit)

Name: Délices
Director: Paul Verhoeven
Genre: Drame
Duration: 105 min.

P.-B. 1973. Drame de Paul Verhoeven avec Rutger Hauer, Monique Van de Ven, Tonny Huudeman. Un jeune sculpteur farouchement non-conformiste tombe passionnément amoureux de la fille d'un commerçant. Scénario d'une vivacité peu commune où la satire se mêle à l'audace. Passages d'un dur réalisme. Mise en scène désinvolte. Interprétation dans le ton.

Délices (Turks Fruit)

18 ans +

P.-B. 1973. Drame de Paul Verhoeven avec Rutger Hauer, Monique Van de Ven, Tonny Huudeman.

Un jeune sculpteur farouchement non-conformiste tombe passionnément amoureux de la fille d'un commerçant. Scénario d'une vivacité peu commune où la satire se mêle à l'audace. Passages d'un dur réalisme. Mise en scène désinvolte. Interprétation dans le ton.

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Genre :

Drame

Année :

1973

Durée :

105 min.

Réalisation :

Paul Verhoeven

Scénario :

Gerard Soeteman
D'après le roman de Jan Wolkers

Photographie :

Jan De Bont

Musique :

Rogier van Otterloo

Montage :

Jan Bosdriesz

Pays :

Pays-Bas

Distributeur :

Cinépix

Interprètes :

Rutger Hauer
Monique Van de Ven
Tonny Huudeman
Wim van den Brink
Hans Boskamp
Dolf de Vries
Manfred de Graaf
Dick Scheffer
Marjol Flore

Eric, jeune sculpteur farouchement non-conformiste, fait par hasard la connaissance d'Olga, fille d'un commerçant. Une liaison passionnée s'engage entre eux qui finit par aboutir au mariage. Après la mort de son père, Olga se laisse influencer par sa mère et quitte Eric pour se remarier avec un Américain. Trois ans plus tard, Eric retrouve Olga, mais elle est atteinte d'une tumeur au cerveau. Le jeune homme reste à ses côtés à l'hôpital jusqu'à sa mort.

L’AVIS DE MEDIAFILM

C'est une sorte de LOVE STORY en plus cru et en plus naturaliste que ce film hollandais dominé par le goût du mordant et du scabreux, et pourtant doté d'une vivacité peu commune. Une mise en images désinvolte, marquée par une nette tendance à la provocation, concourt à une suite de scènes pétulantes où la satire se mêle à l'audace. Certains passages d'un dur réalisme centrés sur les manifestations de la corruption et de la maladie forment un étonnant contraste avec cette vitalité survoltée.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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