Remarquable

Le Lien (Beroringen)

Name: Lien, Le
Director: Ingmar Bergman
Genre: Drame psychologique
Duration: 113 min.

Suèd. 1971. Drame psychologique de Ingmar Bergman avec Bibi Andersson, Elliott Gould, Max von Sydow. La femme d'un médecin suédois s'éprend d'un patient de son mari et se voit forcée de faire un choix. Intrigue assez simple. Mise en scène précise et significative. Images parfaitement composées. Interprètes de talent.

Le Lien (Beroringen)

13 ans +

Suèd. 1971. Drame psychologique de Ingmar Bergman avec Bibi Andersson, Elliott Gould, Max von Sydow.

La femme d'un médecin suédois s'éprend d'un patient de son mari et se voit forcée de faire un choix. Intrigue assez simple. Mise en scène précise et significative. Images parfaitement composées. Interprètes de talent.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1971

Durée :

113 min.

Réalisation :

Ingmar Bergman

Scénario :

Ingmar Bergman

Photographie :

Sven Nykvist

Musique :

Carl Michael Bellman
Peter Covent
Jan Johansen

Montage :

Siv Lundgren

Pays :

Suède

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Bibi Andersson
Elliott Gould
Max von Sydow
Sheila Reid

La femme d'un médecin suédois, Karin Vergerus, fait la connaissance d'un patient de son mari, l'archéologue américain David Kovac. Celui-ci lui déclare son amour et lui demande de devenir sa maîtresse. Karin cède à cette passion imprévue, mais David se révèle un amant tourmenté. Le docteur Vergerus surprend cet amour illicite et force Karin à faire un choix. Après avoir tenté de rejoindre David en Angleterre où elle a des révélations sur le passé de celui-ci, elle rentre en Suède et refuse de renouer avec lui lorsqu'il y revient.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Tournant pour la première fois en langue anglaise, Bergman s'en est tenu à une intrigue assez simple, renonçant à la symbolique et à la thématique chargées de ses oeuvres précédentes. Il n'en reste pas moins que ses personnages demeurent en proie à l'angoisse et à la difficulté de vivre qui marquent toutes les créatures du maître. La mise en scène est toujours aussi précise et significative dans sa concision et les images sont parfaitement composées. Bibi Andersson joue avec toute la sensibilité qu'on lui connaît et Elliott Gould montre une nouvelle face de son talent.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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