L'avis de Mediafilm

Les réalisateurs italiens qui s'exercent au western semblent prendre un malin plaisir à accentuer dans leurs films les éléments de crapulerie et de violence chez les personnages, tout en donnant une place prépondérante à la poussière, à la crasse et à la sueur dans l'image. À ce point de vue, Ferdinando Baldi pourrait se mériter le championnat du débraillé. Les exploits du héros, inspirés sans doute d'une série japonaise similaire, apparaissent d'une invraisemblance totale et le jeu outré de son interprète n'a rien pour le rendre sympathique.

Robert-Claude Bérubé