Remarquable

Le Clan des irréductibles (Sometimes a Great Notion)

Name: Clan des irréductibles, Le
Director: Paul Newman
Genre: Drame social
Duration: 114 min.

É.-U. 1971. Drame social de Paul Newman avec Paul Newman, Henry Fonda, Michael Sarrazin. Les tribulations d'une famille dirigeant une exploitation forestière indépendante. Valeur dramatique indéniable. Approche documentaire et humaine. Photographie admirable. Excellente composition de H. Fonda.

Le Clan des irréductibles (Sometimes a Great Notion)

Général

É.-U. 1971. Drame social de Paul Newman avec Paul Newman, Henry Fonda, Michael Sarrazin.

Les tribulations d'une famille dirigeant une exploitation forestière indépendante. Valeur dramatique indéniable. Approche documentaire et humaine. Photographie admirable. Excellente composition de H. Fonda.

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Genre :

Drame social

Année :

1971

Durée :

114 min.

Réalisation :

Paul Newman

Scénario :

John Gay
D'après le roman de Ken Kesey

Photographie :

Richard Moore

Musique :

Henry Mancini

Montage :

Bob Wyman

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Universal

Interprètes :

Paul Newman
Henry Fonda
Michael Sarrazin
Lee Remick
Richard Jaeckel
Linda Lawson
Cliff Potts
Sam Gilman
Lee de Broux

Dans un coin de l'Oregon, la famille Stamper dirige une exploitation forestière indépendante et refuse de se joindre aux bûcherons des environs lors d'une grève contre les grandes entreprises. L'animosité augmente et certains de leurs ouvriers quittent les Stamper jusqu'au moment où il n'y a plus que les membres de la famille pour faire marcher l'affaire. Un accident fait mourir le père et un cousin si bien que seuls Hank Stamper et son frère Lee restent en lice. À eux deux, ils réussissent tout de même à faire flotter leur bois jusqu'au moulin.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Si la prise de position du film reste quelque peu confuse sur le plan social, sa valeur dramatique n'en est pas moins indéniable. Paul Newman a fait là du beau travail, tant comme réalisateur que comme comédien. Son approche est à la fois documentaire et humaine; sans jamais forcer le secret des personnages et de leurs mobiles d'action, il en fait des êtres de chair et de sang, bien vivants, avec toutes leurs contradictions. La photographie est souvent admirable et Henry Fonda réussit dans le rôle du père une excellente composition.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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