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La Pente douce

18
1971
100% est d'accord avec la cote
La femme d'un avocat sombre dans la déchéance après être devenue la maîtresse d'un agent immobilier.
Sujet scabreux traité dans un style feutré. Décor unique. Dialogue réduit. Rythme lent. Jeu retenu de P. Audret.

L'avis de Mediafilm

Pour scabreux qu'il soit, le sujet est traité avec retenue dans un style feutré où l'ellipse joue un rôle important. La plupart des scènes se déroulent dans le décor unique d'une villa à l'ameublement rare et laissée à l'abandon. Le dialogue est réduit et le rythme est lent, comme pour amplifier le climat de fascination morbide subi par l'héroïne. Ces efforts de stylisation apparaissent pourtant peu efficaces et le résultat se révèle assez vide. Pascale Audret s'efforce vaillamment d'animer de l'intérieur un personnage énigmatique.

Robert-Claude Bérubé

Synopsis

Catherine, femme d'un avocat, a l'idée d'acheter une maison à la campagne pour tromper son ennui. Dès la première visite, elle accepte les avances de l'agent immobilier, un certain Perez. Celui-ci sentant la jeune femme disponible à l'aventure prend de l'ascendant sur elle et lui impose de recevoir des clients dans la maison à demi abandonnée où elle passe ses journées. Catherine va de déchéance en déchéance et finit par vivre la vie d'une prostituée. Son mari s'avère impuissant à l'arracher à cette situation.

Année

1971

Genre

Drame psychologique

Durée

92 min.

Origine

Belgique

Information

Classification

18

Genre

Drame psychologique

Année

1971

Durée

92 min.

Réalisation

Pays

Belgique

France

Italie

Luxembourg

Distribution

Cinépix