Remarquable

La Symphonie pathétique (The Music Lovers)

Name: Symphonie pathétique, La
Director: Ken Russell
Genre: Drame biographique
Duration: 123 min.

G.-B. 1970. Drame biographique de Ken Russell avec Richard Chamberlain, Glenda Jackson, Isabella Telezynska. La vie du célèbre compositeur Tchaïkovski. Style flamboyant teinté de symbolisme freudien. Images admirablement composées se bousculant dans un flot tumultueux mêlant réalité et fantasmes. Ensemble bien accordé aux arabesques romantiques de la musique. Excellents comédiens.

La Symphonie pathétique (The Music Lovers)

18 ans +

G.-B. 1970. Drame biographique de Ken Russell avec Richard Chamberlain, Glenda Jackson, Isabella Telezynska.

La vie du célèbre compositeur Tchaïkovski. Style flamboyant teinté de symbolisme freudien. Images admirablement composées se bousculant dans un flot tumultueux mêlant réalité et fantasmes. Ensemble bien accordé aux arabesques romantiques de la musique. Excellents comédiens.

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Genre :

Drame biographique

Année :

1970

Durée :

123 min.

Réalisation :

Ken Russell

Scénario :

Melvyn Bragg
D'après le livre de Catherine Drinker Bowen
D'après le livre de Barbara von Meck

Photographie :

Douglas Slocombe

Musique :

André Previn

Montage :

Michael Bradsell

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

United Artists

Interprètes :

Richard Chamberlain
Glenda Jackson
Isabella Telezynska
Max Adrian
Christopher Gable
Kenneth Colley

En 1875, Piotr Tchaïkovski est professeur de composition au conservatoire de Moscou. Son talent est remarqué par la riche Mme von Meck qui se fait sa protectrice. Tourmenté par des tendances homosexuelles, Tchaïkovski épouse pourtant Nina Miloukova qui se révèle bientôt névrosée et nymphomane. Il se sépare d'elle pour composer dans la tranquillité d'une résidence qui lui est fournie par sa bienfaitrice. Nina finit sa vie dans un asile et Tchaïkovski meurt du choléra.

L’AVIS DE MEDIAFILM

La vie du célèbre compositeur est évoquée par Ken Russell (WOMEN IN LOVE) dans un style flamboyant nettement teinté de symbolisme freudien. Les images, admirablement composées, se bousculent dans un flot tumultueux où se mêlent la réalité et les fantasmes du compositeur en même temps que les obsessions de sa malheureuse épouse. Le tout s'accorde assez bien avec les arabesques romantiques de la musique de Tchaïkovski. Le spectateur risque cependant d'être déstabilisé par ce spectacle complexe où évoluent d'excellents comédiens.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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