image promotion

Une Femme douce

G
1969 · · A Gentle Woman (ang)
100% est d'accord avec la cote
Au chevet de sa jeune femme qui vient de se suicider, un homme revoit leur vie commune.
Adaptation très personnelle d'une nouvelle de Fédor Dostoïevski. Style épuré. Mise en scène austère et belle. Jeu admirablement dépouillé de D. Sanda.

L'avis de Mediafilm

S'il a pris son sujet chez Fédor Dostoïevski, Robert Bresson ne l'en a pas moins adapté à son propre langage de signes qui renvoie continuellement, à travers un style épuré, à un ailleurs inexprimé. Ses personnages en prennent presque l'allure d'abstractions animées, mais il reste que cette fois ils sont implantés dans un monde contemporain dont la présence contribue à la signification du film. Pour la première fois, l'auteur utilise la couleur qu'il intègre à son univers en des teintes retenues. Le jeu des acteurs a ce ton particulier propre aux oeuvres du cinéaste.

Robert-Claude Bérubé

Synopsis

Au chevet de sa jeune femme qui vient de se suicider, un homme essaie de comprendre les motifs de ce geste. Il l'avait remarquée alors qu'étudiante, elle venait engager divers objets à sa boutique de prêts. Il lui avait offert le mariage, mais leur union en était restée au niveau physique. Après une fugue, son épouse avait été tentée de le tuer pendant son sommeil. Il avait cru comprendre ses torts et pensait avoir effectué une réconciliation définitive, et pourtant...

Année

1969

Genre

Drame psychologique

Durée

90 min.

Origine

France

Information

Classification

G

Genre

Drame psychologique

Année

1969

Durée

90 min.

Réalisation

Photographie

D'après le roman de

Pays

France

Distribution

Paramount

Production

Images

Femme_Douce__Ph___2_.jpgFemme_Douce__Ph___1_.jpg