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Les Créatures

Name: Créatures, Les
Director: Agnès Varda
Genre: Drame psychologique
Duration: 90 min.

Fr. 1966. Drame psychologique de Agnès Varda avec Catherine Deneuve, Michel Piccoli, Eva Dahlbeck. Un romancier dont la femme est muette à cause d'un accident de voiture s'inspire des gens qui vivent autour de lui. Film mi-poétique, mi-fantastique. Oeuvre intellectuelle difficile à percevoir. Images très belles. Interprètes bien dirigés.

Les Créatures (Les Créatures)

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Fr. 1966. Drame psychologique de Agnès Varda avec Catherine Deneuve, Michel Piccoli, Eva Dahlbeck.

Un romancier dont la femme est muette à cause d'un accident de voiture s'inspire des gens qui vivent autour de lui. Film mi-poétique, mi-fantastique. Oeuvre intellectuelle difficile à percevoir. Images très belles. Interprètes bien dirigés.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1966

Durée :

90 min.

Réalisation :

Agnès Varda

Scénario :

Agnès Varda

Photographie :

Willy Kurant

Musique :

Pierre Barbaud

Montage :

Janine Verneau

Pays :

France
Suède

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Catherine Deneuve
Michel Piccoli
Eva Dahlbeck
Britta Pettersson
Marie-France Mignal
Ursula Kubler
Lucien Bodard
Bernard Lajarrige
Jeanne Allard
Joëlle Gozzi
Nino Castelnuovo
Jacques Charrier

Edgar vit avec sa femme qu'un accident de voiture a rendue muette. Pour peupler le roman qu'il est en train d'écrire, il s'inspire des gens qui vivent autour de lui, dont un ingénieur retraité, Ducasse. Edgar fait de ce dernier un inventeur maléfique qui contrôle à distance la conduite des gens et que le héros de son livre finit par affronter dans une étrange partie d'échecs. Alors que le romancier termine son oeuvre, sa femme met au monde son premier enfant.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce film mi-poétique, mi-fantastique permet à Agnès Varda de reprendre plusieurs thèmes qui lui sont chers. Il semble que l'auteur se soit placé sur un plan trop intellectuel, ce qui rend la perception de l'oeuvre difficile. La distinction n'est jamais établie clairement entre le réel et l'imaginaire et cela engendre une certaine confusion dans le récit. Les images sont souvent très belles et les interprètes bien dirigés.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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