Avec le deuxième épisode de cette illustration ambitieuse mais lourde de la vieille chanson de geste des pays nordiques, le rythme se fait encore plus lent et l'essentiel du film se résume en une suite de tableaux vivants. Ce parti-pris de solennel ampoulé handicape le jeu des acteurs et confère un ton artificiel à l'ensemble. Les images sont bien composées en général et profitent de décors et de costumes appropriés à l'époque évoquée.
Texte : Robert-Claude Bérubé