Coplan est à la recherche d'un réacteur volé par des espions. Scénario conventionnel. Mise en scène correcte. Jeu aisé des interprètes.
Après une mise en marche plutôt bavarde, l'intrigue se resserre et le film offre aux amateurs d'action leur pâture habituelle, y compris une lutte à mort sur un train en marche où les trucages ont fort à faire. Le réalisateur possède un certain métier et n'en est pas à ses débuts dans le genre. Le dialogue, encombré de clichés, contient des allusions à l'actualité qui font mouche et les interprètes jouent le jeu avec une certaine aisance.
Texte : Robert-Claude Bérubé