Le demi-dieu Hercule connaît diverses aventures après le meurtre de son épouse par le roi d'Ecalie. Emprunts mythologiques mal digérés. Mise en scène lourde. Interprétation grotesque.
L'intrigue qui relie ces nouvelles aventures du fils de Zeus n'est guère plus qu'un prétexte à accumuler des emprunts mythologiques mal digérés dans une mise en scène lourde et compassée. Les efforts faits par Mickey Hargitay pour exprimer quelques sentiments n'ont d'égal en ridicule que les poses maladroites de Jayne Mansfield. Tout cela relève d'une conception puérile du cinéma et s'inscrit en images laides où l'on ignore les lois les plus élémentaires du cadrage.
Texte : Robert-Claude Bérubé