La Condition humaine - 1ère partie (Ningen no jôken I)

Name: Condition humaine - 1ère partie, La
Director: Masaki Kobayashi
Genre: Drame social
Duration: 205 min.

Jap. 1959. Drame social de Masaki Kobayashi avec Tatsuya Nakadai, Michiyo Aratama, So Yamamura. Pour éviter d'être mobilisé, un Japonais idéaliste accepte un poste de surintendant dans une mine de Mandchourie. Sujet très dur, traité avec une grande dignité humaine. Critique virulente du régime militariste. Style intense et vigoureux. Suite de scènes admirablement composées. Forte interprétation.

La Condition humaine - 1ère partie (Ningen no jôken I)

Général

Jap. 1959. Drame social de Masaki Kobayashi avec Tatsuya Nakadai, Michiyo Aratama, So Yamamura.

Pour éviter d'être mobilisé, un Japonais idéaliste accepte un poste de surintendant dans une mine de Mandchourie. Sujet très dur, traité avec une grande dignité humaine. Critique virulente du régime militariste. Style intense et vigoureux. Suite de scènes admirablement composées. Forte interprétation.

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Genre :

Année :

Durée :

Réalisation :

Pays :

Japon

Distributeur :

n/d

Interprètes :

Tatsuya Nakadai
Michiyo Aratama
So Yamamura

Pour éviter d'être mobilisé, un jeune Japonais idéaliste, Kajî, accepte un poste de surintendant dans une mine de Mandchourie. Il veut améliorer les conditions de travail, mais l'adjonction de prisonniers de guerre aux coolies employés par la mine rend son action à peu près inutile. Accusé de complicité dans des évasions, Kajï est emprisonné et torturé. A sa libération, il reçoit son avis de mobilisation.

L’AVIS DE MEDIAFILM

C'est là le premier volet de la grande fresque réalisée en trois films par Kobayashi et dont les deux derniers épisodes, La Route pour l'éternité et La Prière du soldat, ont déjà été présentés ici il y a quelques années. Les expériences du héros en Mandchourie donnent lieu à une suite de scènes admirablement composées où se manifeste une dure critique du régime militariste. Le ton d'ensemble est toujours digne même lorsque sont décrites des aberrations ou des cruautés. L'oeuvre de Kobayashi reste l'un des plus impressionnants monuments du cinéma japonais. L'interprétation est constamment d'une grande intensité.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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