L'avis de Mediafilm

Par l'accumulation de détails bizarres, Henri-Georges Clouzot s'efforce de créer autour de son héros une atmosphère de cauchemar. Mais ce travail est désamorcé par l'introduction de personnages burlesques auxquels on ne peut guère accorder créance. L'oeuvre oscille ainsi continuellement entre deux tons et, malgré la précision de la mise en scène, l'ennui s'infiltre petit à petit dans cette machinerie. Les interprètes évoluent avec aisance dans ce monde de l'absurde.

Robert-Claude Bérubé