Remarquable

Queen Kelly

Name: Queen Kelly
Director: Erich von Stroheim
Genre: Mélodrame
Duration: 101 min.

É.-U. 1929. Mélodrame de Erich von Stroheim avec Gloria Swanson, Walter Byron, Seena Owen. Une couventine est remarquée par le fiancé de la reine, ce qui l'entraîne dans de sinistres mésaventures. Restauration d'un film inachevé. Style extravagant d'une grande opulence visuelle. Mise en scène inventive. Jeu maniéré de G. Swanson.

Queen Kelly (Queen Kelly)

Général

É.-U. 1929. Mélodrame de Erich von Stroheim avec Gloria Swanson, Walter Byron, Seena Owen.

Une couventine est remarquée par le fiancé de la reine, ce qui l'entraîne dans de sinistres mésaventures. Restauration d'un film inachevé. Style extravagant d'une grande opulence visuelle. Mise en scène inventive. Jeu maniéré de G. Swanson.

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Genre :

Année :

Durée :

Réalisation :

Scénario :

Photographie :

Paul Ivano
Gordon Pollock

Musique :

Adolph Tandler

Montage :

Viola Lawrence

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Films SMC

Interprètes :

Gloria Swanson
Walter Byron
Seena Owen

Le prince Wolfram doit épouser la reine Regina lorsqu'il s'entiche d'une couventine, Kitty Kelly. La veille du mariage, il enlève Kitty et l'emmène dans ses appartements au château de la reine. Kitty se laisse prendre aux promesses du prince et va lui céder lorsque la souveraine survient à l'improviste et la chasse du château à coups de fouet. Sauvée du suicide par un officier de garde, Kitty est appelée au chevet de sa tante mourante en Afrique. Celle-ci est une tenancière de maison close qui a promis sa nièce en mariage à un planteur répugnant.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Il s'agit là d'une restauration d'un film inachevé de l'excentrique réalisateur autrichien qui fît carrière à Hollywood contre vents et marées dans les années 1920. Selon un épilogue écrit sur la présente copie, le récit devait s'achever sur le triomphe de l'héroïne enfin retrouvée par son prince après maints déboires. La présente version fut montée en 1984 par Dennis Doros en utilisant diverses sources et en serrant au plus près les intentions de l'auteur. Telle quelle, elle illustre bien le style extravagant d'Erich von Stroheim, son goût pour l'excès et son invention visuelle. Le jeu maniéré de Gloria Swanson ne convient guère à l'innocence supposée de l'héroïne.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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