Débutant dès aujourd’hui et se poursuivant jusqu’au 15 mai, les Sommets du cinéma d’animation mettent la compétition canadienne de l’avant cette année.
En effet, ce sont 37 courts métrages provenant de partout au pays qui sont mis en valeur dans quatre programmes. Les femmes occupent une place importante au sein de cette sélection, dans laquelle on retrouve Pas de titre d’Alexandra Myotte, en lice au Gala Québec Cinéma pour l’Iris du Meilleur court métrage d’animation. Ce sera aussi l’occasion de voir, sur grand écran, le vidéoclip Vert, extrait de Harmonium Symphonique, réalisé par Marcella Grimaux, Vince Hurtubise et Gabriel Poirier-Galarneau.
Le cinéma international bénéficie également d’une vitrine importante, notamment avec le long métrage La Traversée de Florence Miailhe, film sur le drame des migrants. Notons aussi Pléthore de Nords du grand maître de l’animation japonaise, Koji Yamamura, en plus des films d’ouverture et de clôture, respectivement Les voisins de mes voisins sont mes voisins, d’Anne-Laure Daffis et Léo Marchand et Fortune Favors Lady Nikuko du Japonais Ayumu Watanabe.
Avec un total de 114 films, dont 49 premières, et plusieurs activités gratuites, on nous propose une édition anniversaire à la fois riche, diversifiée et allumée. Les festivités ont lieu à la Cinémathèque québécoise.
Cinq ans après Soleils noirs, le documentariste Julien Elie expose un réseau corrompu de dépossession territoriale semant la terreur au Mexique. Bienvenue dans La Garde blanche.
En salle le 19 avril, Do Not Expect Too Much From the End of the World met en scène une jeune femme mandatée par une multinationale afin de documenter le processus de casting d’une vidéo sur la sécurité au travail dans les rues de Bucarest.
La Bête raconte, à trois époques différentes, la romance impossible entre un homme et une femme que l’amour aurait dû souder, mais que la peur a divisés.
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