Face à la prolifération récente de films sans aucunes qualités, Mediafilm se voit dans l’obligation de créer une nouvelle cote : (8) – Pourri.
L’équipe rédactionnelle de Mediafilm couvre toutes les sorties de longs métrages en salle au Québec, mais aussi les principales sorties sur les plateformes numériques, qui, d’année en année, deviennent de plus en plus nombreuses.
Dans un souci de mieux servir notre lectorat, nous tentons de traiter la quasi-totalité de ces diffusions en ligne. Ce faisant, nous devons évaluer des productions qui, de l’avis de tous, n’ont aucunes qualités, fussent-elles psychotroniques, et auraient dû restées dans les limbes de l’industrie cinématographique.
Créées en 1968 par Robert-Claude Bérubé, les cotes de Mediafilm vont de (1) Chef-d’œuvre à (7) Minable. 55 ans plus tard, nous sommes contraints d’ajuster cette échelle afin de répondre aux réalités du 21e siècle.
C’est pour cette raison que, suite à des semaines de délibération avec les instances décisionnelles, nous en sommes venus à l’inévitable conclusion qu’il nous fallait ajouter une nouvelle cote pour les films qui ne sont tout simplement pas dignes d’une cote (7) – Minable.
Les films pouvant se mériter l’ignominieuse cote (8) – Pourri devront répondre aux critères suivants :
Voici donc les 5 premières cote (8) - Pourri, présentées ici par Ordralfabétix.
Sept ans après La danseuse, sur la stupéfiante Loïe Fuller, Stéphanie Di Giusto s'attaque en beauté à une autre femme-phénomène dans Rosalie, en salle au Québec dès le 26 avril.
Josh O’Connor et Mike Faist se livrent une joute sulfureuse pour gagner le cœur de Zendaya dans Challengers, plus récent film réalisé par Luca Guadagnino.
En ce Jour de la Terre, célébré pour la première fois en 1970, Mediafilm propose de revisiter 7 films qui ont abordé, chacun à leur manière, des enjeux liés à la crise écologique.
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