Le 8e festival Longue vue sur le court aura lieu, en salle, du 23 au 27 novembre.
Avec plus de 70 films représentant 18 pays, Longue vue sur le court, Festival international de courts métrages du Sud-Ouest de Montréal, offre une vitrine bienvenue sur ce genre qui aborde autant la fiction que le documentaire, l’expérimental ou l’animation.
On retrouve, dans la programmation de cette année, 41 films québécois ou canadiens. Parmi ceux-ci, mentionnons III de Salomé Villeneuve, présenté en première mondiale au Festival de Venise, La théorie Lauzon de Marie-Josée Saint-Pierre, sur le cinéaste Jean-Claude Lauzon, et N’xaxaitkw d’Asia Youngman, avec Émilie Bierre.
Pour ce qui est de l’international, les films proviennent de pays aussi divers que le Costa-Rica, l’Autriche, la France, le Portugal et les États-Unis.
Par ailleurs, un volet jeunesse composé de 28 courts métrages permettra aux enfants de découvrir gratuitement une sélection de films qui leur sont destinés.
En ce Jour de la Terre, célébré pour la première fois en 1970, Mediafilm propose de revisiter 7 films qui ont abordé, chacun à leur manière, des enjeux liés à la crise écologique.
Cinq ans après Soleils noirs, le documentariste Julien Elie expose un réseau corrompu de dépossession territoriale semant la terreur au Mexique. Bienvenue dans La Garde blanche.
En salle le 19 avril, Do Not Expect Too Much From the End of the World met en scène une jeune femme mandatée par une multinationale afin de documenter le processus de casting d’une vidéo sur la sécurité au travail dans les rues de Bucarest.
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