À l’occasion de la sortie en salle de Nouveau-Québec de Sarah Fortin, dont l’action se situe dans la communauté innue de Matimekush, nous vous proposons cinq films réalisés par des cinéastes issus des 11 Nations autochtones du Québec.
Sonia Bonspille-Boileau, réalisatrice d’origine mohawk, a réalisé deux solides films de fiction. Tout d’abord, Le Dep où, par le biais du film de genre, elle dépeint avec sensibilité les réalités autochtones en Outaouais. Puis, Rustic Oracle, dans lequel elle évoque avec empathie le drame des femmes autochtones disparues ou tuées, vu par le regard d’une fillette.
Dans Je m’appelle humain, la cinéaste abénakise Kim O’Bomsawin dresse un portrait délicat de la poétesse innue Joséphine Bacon en la suivant sur les lieux qui ont marqué son passé. Innu Nikamu - Chanter la résistance, de l’Innu Kevin Bacon Hervieux, retrace l'histoire du populaire Festival de musique Innu Nikamu de Maliotenam, véritable institution socio-culturelle de la Côte-Nord depuis plus de 35 ans.
Figure majeure du cinéma autochtone, et du cinéma tout court, l’artiste abénakise Alanis Obomsawin a tourné plus d’une quarantaine de documentaires. Parmi ceux-ci, le plus connu est certainement Kanehsatake: 270 Years of Resistance, sur le soulèvement Mohawk survenu en 1990.
Sept ans après La danseuse, sur la stupéfiante Loïe Fuller, Stéphanie Di Giusto s'attaque en beauté à une autre femme-phénomène dans Rosalie, en salle au Québec dès le 26 avril.
Josh O’Connor et Mike Faist se livrent une joute sulfureuse pour gagner le cœur de Zendaya dans Challengers, plus récent film réalisé par Luca Guadagnino.
En ce Jour de la Terre, célébré pour la première fois en 1970, Mediafilm propose de revisiter 7 films qui ont abordé, chacun à leur manière, des enjeux liés à la crise écologique.
©2024 MEDIAFILM Tous droits réservés.