
À l’occasion de la sortie en salle de Suzume de Makato Shinkai, Mediafilm vous présente une sélection de films d’animation japonais parmi les plus marquants.
Si l’on estime que les premières animations japonaises remontent à la fin des années 1910, Le serpent blanc (1958) de Taiji Yabushita est le plus ancien long métrage d’animation à avoir été évalué par Mediafilm.
C’est toutefois au cours des années 1960 que se développe le phénomène de l’animé, aussi appelé « japanimation », notamment avec l’apparition des mangas, indissociables de cette tradition, dont la paternité est attribuée à Osamu Tezuka, créateur d’Astro, le petit robot.
Depuis, de nombreux artisans nippons ont affiné les techniques et repoussé les limites de leur imagination, afin de produire des petites merveilles d’animation. Certaines d’entre elles, il faut le préciser, s'adressent davantage à un public averti (Akira, Ghost In The Shell, Perfect Blue).
Les fondateurs du réputé Studio Ghibli, Hayao Miyazaki, grand maître à qui l’on doit le chef-d’oeuvre Le voyage de Chihiro, et Isao Takahata (Le tombeau des lucioles), ont permis au genre de bénéficier d’une plus grande reconnaissance, grâce à la qualité des dessins et à la poésie qui se dégage de leurs films.
Aujourd’hui, ces animés, fort populaires au pays du Soleil Levant, ne cessent d’avoir de nouveaux adeptes autour du globe.
La 24e édition du Festival du film de l’Outaouais sera dédiée à Michel Côté, récemment disparu.
En marge des blockbusters estivaux présentés en salle, de nombreuses projections à la belle étoile sont prévues cet été, à Montréal et un peu partout au Québec.
Décédé à l’âge de 72 ans, l’acteur québécois Michel Côté s’est notamment illustré, au cinéma, dans C.R.A.Z.Y. et Cruising Bar.
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