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Des lumières dans la grande noirceur

G
1991 ·
100% est d'accord avec la cote
Profil de Léa Roback, octogénaire qui a milité toute sa vie dans des mouvements syndicalistes et féministes.
Rappel de plusieurs décennies de lutte ouvrière. Approche variée bien que linéaire de nombreux événements. Iconographie ayant exigée des recherches. Illustration plus appliquée qu'inventive. Intervenante loquace et sympathique.

L'avis de Mediafilm

Centré sur une octogénaire au franc parier, le film rappelle plusieurs décennies de lutte ouvrière. La réalisatrice s'est efforcée de varier son approche tout en gardant une certaine linéarité dans l'ordre chronologique des événements évoqués. L'iconographie a sûrement exigé des recherches acharnées et le résultat n'en est que plus intéressant. L'illustration s'avère pourtant plus appliquée qu'inventive en voulant rester sobre et près de la vérité. La principale intervenante ne manque certes pas de loquacité et possède un don certain de sympathie.

Robert-Claude Bérubé

Synopsis

Née en 1903 à Montréal de parents juifs émigrés de Pologne, Léa Roback a milité toute sa vie pour des mouvements syndicalistes ou féministes. Parvenue à l'âge respectable de 87 ans, elle est toujours alerte et militante. Elle rappelle devant la caméra des souvenirs qui sont illustrés à l'occasion par des documents d'époque. Elle a grandi à Beauport dans un milieu francophone, attentive dès son enfance aux préjugés et aux injustices. Son action s'est surtout exercée dans les années 30 et 40 alors qu'elle était membre du parti communiste.

Année

1991

Genre

Documentaire

Durée

90 min.

Origine

Canada

Information

Classification

G

Genre

Documentaire

Année

1991

Durée

90 min.

Réalisation

Pays

Canada

Québec

Distribution

Cinéma libre