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Un Aller simple

G
1970 ·
100% est d'accord avec la cote
Blessé dans un hold-up, un voleur s'évade d'un hôpital pour innocenter sa fiancée qu'on veut incriminer dans une autre affaire.
Récit bien mené. Certaines invraisemblances. Mise en scène vigoureuse et alerte. Rôle principal joué avec allant.

L'avis de Mediafilm

Le roman de Henry Edward Helseth a déjà été porté à l'écran aux États-Unis en 1948 sous le titre CRY OF THE CITY. Alors que le réalisateur de ce film s'efforçait de détruire le mythe du criminel, José Giovanni situe le sien dans une espèce de romantisme du milieu où subsistent des valeurs d'honneur et d'amour. Si l'on ne s'arrête pas trop à des invraisemblances de détail, même s'il y en a qui sont de taille, on peut prendre plaisir à un récit bien mené dans une mise en scène vigoureuse et alerte. Jean-Claude Bouillon montre beaucoup d'allant dans le rôle principal.

Synopsis

Blessé dans un hold-up où il a tué un policier, Marty est gardé à vue dans un hôpital. Un avocat lui propose de s'accuser d'un autre crime pour innocenter un certain Leggett. Marty refuse et parvient à s'évader dans l'intention de disculper sa fiancée Tina qu'on veut incriminer dans cette affaire. Poursuivi par la police, il réussit pourtant à retrouver la complice de Leggett et à la livrer à la justice. Après quoi, il accepte sa condamnation et marche à la mort en chantant.

Année

1970

Genre

Drame policier

Durée

100 min.

Origine

Espagne

Information