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Bugsy, le gangster sans scrupule (Bugsy)

É.-U. 1991. Drame de moeurs de Barry Levinson avec Warren Beatty, Annette Bening, Harvey Keitel. Fasciné par Hollywood et amoureux d'une starlette, un mafioso sans scrupules rêve de construire un luxueux hôtel-casino en plein désert. Étude psychologique plutôt superficielle. Mise en scène manquant parfois de vigueur. Quelques scènes bien ficelées. Distribution imposante. Jeu étonnant de H. Keitel.

13 ans + (violence)
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Bugsy, le gangster sans scrupule (Bugsy)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 1991. Drame de moeurs de Barry Levinson avec Warren Beatty, Annette Bening, Harvey Keitel.

Fasciné par Hollywood et amoureux d'une starlette, un mafioso sans scrupules rêve de construire un luxueux hôtel-casino en plein désert. Étude psychologique plutôt superficielle. Mise en scène manquant parfois de vigueur. Quelques scènes bien ficelées. Distribution imposante. Jeu étonnant de H. Keitel.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
James Toback
D'après le livre de Dean Jennings
Photographie :
Musique :
Pays :
Distributeur :
Columbia
Récompenses
Un gangster new-yorkais, Meyer Lansky, offre à un de ses amis, Benjamin "Bugsy" Siegel, le contrôle des activités de la pègre à Los Angeles. Homme de classe, séduisant, impulsif et ambitieux, Siegel n'en est pas moins un mafioso brutal et sans scrupules. Il a tôt fait d'établir son autorité sur les gangsters locaux et devient rapidement fasciné par Hollywood. Grâce à un ami acteur, George Raft, Siegel fait la connaissance de Virginia Hill, une starlette dont il tombe follement amoureux. C'est au cours d'une escapade avec elle qu'il a l'idée de construire un luxueux hôtel-casino en plein désert, dans un endroit appelé Las Vegas.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Malgré une distribution imposante, un réalisateur chevronné, un scénariste réputé et un compositeur célèbre, ce film de gangsters réussit difficilement à prendre son envol. Les auteurs auraient voulu renier le genre au profit d'une étude psychologique plutôt superficielle. La mise en scène manque parfois de vigueur en dépit de quelques scènes bien ficelées qui parviennent à relancer l'intérêt pour un certain temps. Entouré de comédiens remarquables, l'excellent Warren Beatty se fait toutefois voler la vedette par le jeu étonnant d'Harvey Keitel.

Texte : André Caron

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