The Hitman

É.-U. 1991. Drame policier de Aaron Norris avec Chuck Norris, Michael Parks, Al Waxman. Infiltré dans la pègre de Seattle, un policier pousse deux gangsters concurrents à s'allier afin de les coincer ensemble. Scénario convenu et simpliste. Manichéisme effarant. Réalisation rudimentaire. Jeu monolithique de C. Norris.

The Hitman (The Hitman)

13 ans + (violence)

É.-U. 1991. Drame policier de Aaron Norris avec Chuck Norris, Michael Parks, Al Waxman.

Infiltré dans la pègre de Seattle, un policier pousse deux gangsters concurrents à s'allier afin de les coincer ensemble. Scénario convenu et simpliste. Manichéisme effarant. Réalisation rudimentaire. Jeu monolithique de C. Norris.

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Genre :

Drame policier

Année :

1991

Durée :

95 min.

Réalisation :

Aaron Norris

Pays :

États-Unis

Distributeur :

C/FP

Interprètes :

Chuck Norris
Michael Parks
Al Waxman

Abattu traîtreusement lors d'une mission par un partenaire corrompu, le policier Garret est laissé pour mort. Cependant, trois ans plus tard, il réapparaît dans la pègre de Seattle sous le nom de Grogan. Devenu le second du mafioso Marco Luganni, il a pour mission de pousser son nouveau patron à s'allier à un concurrent de Vancouver, de façon à ce que la police les coince ensemble. Des gangsters d'origine iranienne viennent brouiller les cartes, faisant se dresser les deux parrains l'un contre l'autre. Après avoir échappé à divers attentats, Grogan finit par découvrir que son ancien collègue est derrière ce bain de sang.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Même s'il est vrai qu'il ne bénéficie pas d'un scénario des plus subtils, Aaron Norris reste pourtant fidèle à sa réputation de réalisateur "bulldozer" en bousculant une fois de plus sa mise en scène. Tournée en grande partie en nocturne dans de vieux débarcadères pour conférer à l'ensemble un cachet de film noir, cette production ne sort néanmoins pas de l'ornière fort limitée des films d'action à petit budget. D'un manichéisme effarant, le récit mise sur des situations aussi ressassées qu'oppressantes, que n'atténue en rien un intermède sentimental peu convaincant. Face à ses partenaires, Chuck Norris n'a pas trop à rougir du monolithisme de son jeu.

Texte : Christian Depoorter

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