Fatherland

Name: Fatherland
Director: Ken Loach
Genre: Drame psychologique
Duration: 110 min.

G.-B. 1986. Drame psychologique de Ken Loach avec Gerulf Pannach, Fabienne Babe, Sigfrit Steiner. Un chanteur est-allemand passe à l'Ouest pour retrouver son père qui a fait défection trente ans auparavant. Vision critique de problèmes contemporains. Récit touffu. Ensemble intéressant et attachant. Interprétation naturelle.

Fatherland (Fatherland)

Général

G.-B. 1986. Drame psychologique de Ken Loach avec Gerulf Pannach, Fabienne Babe, Sigfrit Steiner.

Un chanteur est-allemand passe à l'Ouest pour retrouver son père qui a fait défection trente ans auparavant. Vision critique de problèmes contemporains. Récit touffu. Ensemble intéressant et attachant. Interprétation naturelle.

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Genre :

Drame psychologique

Année :

1986

Durée :

110 min.

Réalisation :

Ken Loach

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

Dima

Interprètes :

Gerulf Pannach
Fabienne Babe
Sigfrit Steiner

Le chanteur Klaus Dritterman obtient de passer de l'Allemagne de l'Est à celle de l'Ouest. Pour célébrer son entrée dans le monde libre, on lui organise une conférence de presse, mais Dritterman n'a pas envie de chanter les louanges d'un régime capitaliste. Plus que la poursuite d'une carrière populaire, sa première préoccupation est de retrouver son père qui a lui-même fait défection trente ans auparavant. Il fait équipe avec une journaliste française qui se spécialise dans la recherche d'anciens nazis. Sa quête s'arrête en Angleterre où il trouve un vieil homme qui ne tient pas à le reconnaître.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Praticien d'un cinéma réaliste, quasi documentaire, Ken Loach fait souvent montre d'une vision critique de divers problèmes contemporains. Ce ne sont certes pas les thèmes qui lui manquent dans ce film touffu où sont abordés le rattachement à une patrie, l'idée de trahison, les crimes de guerre et la propension de la société de consommation à absorber toute révolte. Le récit est bien quelque peu diffus, mais le traitement reste intéressant et les personnages ne manquent pas de présence. Bien qu'un peu difficile d'accès, l'ensemble se révèle attachant et profite du jeu naturel des interprètes.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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