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Réservé aux chiens (Dog Park)

Can. 1998. Comédie sentimentale de Bruce McCulloch avec Bruce McCulloch, Luke Wilson, Natasha Henstridge. Les hauts et les bas sentimentaux d'un groupe de jeunes citadins. Sujet traité sans saveur et sans élan. Enfilade de scènes bavardes. Quelques passages plus relevés. Réalisation compétente. Interprétation appliquée.

Général (déconseillé aux jeunes enfants)
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Réservé aux chiens (Dog Park)

Général (déconseillé aux jeunes enfants) Général (déconseillé aux jeunes enfants)

Can. 1998. Comédie sentimentale de Bruce McCulloch avec Bruce McCulloch, Luke Wilson, Natasha Henstridge.

Les hauts et les bas sentimentaux d'un groupe de jeunes citadins. Sujet traité sans saveur et sans élan. Enfilade de scènes bavardes. Quelques passages plus relevés. Réalisation compétente. Interprétation appliquée.

Année :
Réalisation :
Scénario :
Pays :
Distributeur :
Lion's Gate
Récompenses
La petite amie d'Andy vient de le quitter pour un autre homme en emportant leur chien Mogley. Dans un bar, Andy fait la connaissance de la séduisante Lorna et l'invite chez lui. Malheureusement la jeune femme n'est pas prête à s'engager dans une relation. Andy tombe ensuite dans les bras de Keiran, mais leur relation est avant tout sexuelle et finit par lasser le jeune homme, qui est encore sous le charme de Lorna. Pendant ce temps, la meilleure amie d'Andy, sa collègue de travail Jeri, ne se doute pas que son conjoint Jeff la trompe.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce film est le premier long métrage réalisé par le comédien Bruce McCulloch, qui faisait partie de la bande de la série télévisée Kids in the Hall. De plus, McCulloch a lui-même écrit cette histoire sur les hauts et les bas des rapports amoureux contemporains. On ne peut vraiment pas dire que le cinéaste offre une approche et un point de vue particulièrement originaux ou mordants. Au contraire, on est souvent surpris par le caractère insipide des observations satiriques et par l'absence d'élan du traitement. Le film est constitué de scènes bavardes et interchangeables qui se suivent sans pour autant constituer une véritable intrigue. Le propos est mince et sans surprise, alors que les personnages s'avèrent généralement très fades, ce qui n'aide pas. La réalisation est à l'avenant, c'est-à-dire tout au plus compétente. Quelques passages comiques plus relevés se font néanmoins remarquer ici et là et les interprètes font leur possible pour rendre avec un minimum de conviction des rôles qui manquent de saveur.

Texte : Martin Girard

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