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Mikey

É.-U. 1991. Drame d'horreur de Dennis Dimster-Denk avec Brian Bonsall, Josie Bissett, Lyman Ward. Excédé par la prétendue injustice dont fait preuve sa famille adoptive, un bambin décide de l'éliminer purement et simplement. Histoire invraisemblable traité de façon malicieuse. Effets de suspense gratuits. Humour noir sous-jacent. Réalisation technique assez satisfaisante. Interprétation piquante de B. Bonsall.

16 ans + (violence)
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Mikey (Mikey)

16 ans + (violence) 16 ans + (violence)

É.-U. 1991. Drame d'horreur de Dennis Dimster-Denk avec Brian Bonsall, Josie Bissett, Lyman Ward.

Excédé par la prétendue injustice dont fait preuve sa famille adoptive, un bambin décide de l'éliminer purement et simplement. Histoire invraisemblable traité de façon malicieuse. Effets de suspense gratuits. Humour noir sous-jacent. Réalisation technique assez satisfaisante. Interprétation piquante de B. Bonsall.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
C/FP
Excédé par la prétendue injustice dont fait preuve sa famille adoptive, le jeune Mikey décide de l'éliminer purement et simplement Se faisant passer pour le seul rescapé de ce carnage digne du pire psychopathe, Mikey est placé dans un autre foyer. Sa politesse, son dévouement, sa bonne humeur font la fierté de ses nouveaux parents. Cependant, son institutrice émet quelques doutes quant à l'équilibre psychologique de l'enfant Doutes qui se concrétisent lorsque le fiancé de la voisine de Mikey est électrocuté dans sa piscine. Il est vrai que l'adorable bambin est amoureux de celle-ci et qu'il a horreur de la contrariété.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Si ce n'était la façon malicieuse dont le scénariste a perverti l'image stéréotypée de l'innocence enfantine, ce film se fondrait dans la longue liste des productions anonymes d'un genre qui semble usé jusqu'à la corde à force de répéter les mômes clichés. Tout en étant parcimonieux dans les doses de ketchup utilisées, le réalisateur appuie cette invraisemblable histoire sur des effets de suspense entièrement gratuits. Heureusement, un humour noir sous-jacent permet presque de prendre cette pochade pour une parodie sans que cette orientation diminue vraiment la tension générale. La réalisation technique est assez satisfaisante, nonobstant quelques longueurs, et le jeune Brian Bonsall ne manque pas de piquant dans le rôle-titre.

Texte : Christian Depoorter

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