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Twilight of the Cockroaches (Gokiburi)

Jap. 1987. Dessins animés de Hiroaki Yoshida . Une colonie de cafards se la coule douce dans la demeure d'un célibataire jusqu'au jour où celui-ci se met à fréquenter une voisine qui ne supporte pas les insectes. Mélange d'animation et de prises de vue réelles. Ensemble lent et statique. Quelques détails inventifs. Jeu mécanique des acteurs.

Général
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Twilight of the Cockroaches (Gokiburi)

Général Général

Jap. 1987. Dessins animés de Hiroaki Yoshida .

Une colonie de cafards se la coule douce dans la demeure d'un célibataire jusqu'au jour où celui-ci se met à fréquenter une voisine qui ne supporte pas les insectes. Mélange d'animation et de prises de vue réelles. Ensemble lent et statique. Quelques détails inventifs. Jeu mécanique des acteurs.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Del Fuego
Une colonie de cafards se la coule douce dans la demeure du célibataire Saito. En effet, ce dernier demeure indifférent à la présence des insectes, même lorsque ceux-ci s'activent en plein jour sous ses yeux. Tout cela dure jusqu'au moment où Saito se met à fréquenter sa voisine qui ne supporte pas la moindre vermine. Celle-ci déclare alors la guerre aux cafards à grands renforts de bonbonnes d'insecticide.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'anthropomorphisme dans le cinéma d'animation est chose extrêmement courante, mais il est rare qu'un cinéaste choisisse comme héros du monde animal des représentants de la gent "vermine". Ce film d'animation japonais constitue en ce sens un projet plutôt tordu. L'auteur voudrait que l'on s'attache aux cafards, présentés avec sympathie, et que l'on craigne les humains, dépeints comme des monstres exterminateurs. Or, il est permis de demeurer sceptique et réfractaire devant cette apologie du charme on ne peut plus discret de la blatte. Bien que techniquement assez au point, l'ensemble apparaît généralement plutôt statique et manque désespérément de rythme. Les insectes dessinés et animés évoluent dans des décors réels aux côtés d'acteurs au jeu mécanique. Il y a des détails inventifs dans la mise en images, mais le graphisme lui-même demeure plutôt simpliste.

Texte : Martin Girard

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