Le Mirage

Name: Mirage, Le
Director: Jean-Claude Guiguet
Genre: Drame psychologique
Duration: 95 min.

Fr. 1992. Drame psychologique de Jean-Claude Guiguet avec Louise Marleau, Fabienne Babe, Christopher Scarbeck. Une ex-chanteuse d'âge mûr s'éprend du jeune professeur d'anglais de son fils. Adaptation d'une nouvelle de Thomas Mann. Intrigue subtile aux élans poétiques. Dialogues sonnant désespérément faux. Belles images de la nature. L. Marleau peu convaincante.

Le Mirage (Le Mirage)

Général

Fr. 1992. Drame psychologique de Jean-Claude Guiguet avec Louise Marleau, Fabienne Babe, Christopher Scarbeck.

Une ex-chanteuse d'âge mûr s'éprend du jeune professeur d'anglais de son fils. Adaptation d'une nouvelle de Thomas Mann. Intrigue subtile aux élans poétiques. Dialogues sonnant désespérément faux. Belles images de la nature. L. Marleau peu convaincante.

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Genre :

Année :

Durée :

Réalisation :

Pays :

France

Distributeur :

Max Films

Interprètes :

Louise Marleau
Fabienne Babe
Christopher Scarbeck

L'ex-chanteuse Maria Tümmler, dont l'âge n'a pas effacé la beauté, vit paisiblement dans un domaine au bord du lac Léman, en compagnie de sa fille Anna et de son fils Edouard. Ce dernier suit des cours particuliers d'anglais et son jeune professeur, Ken Keaton, est devenu un habitué de la maison. Après avoir aperçu par hasard le corps nu de l'enseignant, Maria réalise qu'elle en est amoureuse et se sent alors rajeunir. Anna tente en vain de modérer les élans amoureux de sa mère. Lors d'une excursion en Savoie, Maria avoue son amour à Ken, qui partage ce sentiment pour elle. Mais leur bonheur sera de courte durée.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le réalisateur de FAUBOURG SAINT-MARTIN met une nouvelle fois en scène un personnage de femme d'un certain âge dans cette adaptation d'un récit peu connu de Thomas Mann. Rappelant à plusieurs égards Mort à Venise, l'intrigue subtile baigne dans une ambiance qui se veut constamment poétique. Hélas, si la sérénité des magnifiques images de la nature parvient à rendre cette poésie, ce n'est pas te cas des dialogues qui sonnent désespérément faux. Tout comme le reste de la distribution hétéroclite de cette coproduction, Louise Marleau ne convainc guère, malgré les quelques moments d'intense émotion qu'elle génère. Seule Fabienne Babe réussit à tirer son épingle du jeu.

Texte : Louis-Paul Rioux

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