Just Another Girl on the I.R.T.

Name: Just Another Girl on the I.R.T.
Director: Leslie Harris
Genre: Drame de moeurs
Duration: 92 min.

É.-U. 1992. Drame de moeurs de Leslie Harris avec Ariyan Johnson, Kevin Thigpen, Ebony Jerido. Bien qu'enceinte, une adolescente de Brooklyn refuse de faire face à la réalité et continue de vivre comme si de rien n'était. Tableau de moeurs assez vivant. Certains passages sonnant faux. Rythme fort inégal. Climat de réalisme. Interprétation honorable d'A. Johnson.

Just Another Girl on the I.R.T. (Just Another Girl on the I.R.T.)

13 ans + (langage vulgaire)

É.-U. 1992. Drame de moeurs de Leslie Harris avec Ariyan Johnson, Kevin Thigpen, Ebony Jerido.

Bien qu'enceinte, une adolescente de Brooklyn refuse de faire face à la réalité et continue de vivre comme si de rien n'était. Tableau de moeurs assez vivant. Certains passages sonnant faux. Rythme fort inégal. Climat de réalisme. Interprétation honorable d'A. Johnson.

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Genre :

Drame de moeurs

Année :

1992

Durée :

92 min.

Réalisation :

Leslie Harris

Pays :

États-Unis

Distributeur :

C/FP

Interprètes :

Ariyan Johnson
Kevin Thigpen
Ebony Jerido

Chantel est une adolescente noire d'un quartier populaire de New York. Intelligente et studieuse, elle obtient toujours d'excellents résultats scolaires, mais son attitude arrogante et rebelle lui attire souvent des réprimandes à l'école et à la maison. Chantel demeure cependant complètement indifférente à son entourage. Lorsqu'elle se retrouve enceinte des oeuvres de Kevin, la jeune fille refuse de révéler son état à ses parents et continue de vivre comme si de rien n'était, allant même jusqu'à gaspiller l'argent que Kevin lui a donné pour se faire avorter. Son refus de faire face à la réalité finit par mettre en danger sa vie et celle de son enfant.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce film indépendant a été réalisé par une cinéaste noire avec de tout petits moyens financiers et des comédiens débutants. Le scénario offre un tableau assez vivant du milieu où évolue l'héroïne, tout en cernant de façon satisfaisante la psychologie de celle-ci. Malheureusement certains passages sonnent faux et le rythme de l'ensemble s'avère fort inégal. Toutefois, la réalisatrice parvient par moments à créer un climat de réalisme qui donne l'impression d'assister à des situations prises sur le vif. La mise en scène emprunte d'ailleurs beaucoup à l'esthétique du documentaire (caméra à l'épaule, montage désordonné, cadrage approximatif). La jeune protagoniste s'en tire honorablement, mais ses partenaires sont plus ou moins convaincants.

Texte : Martin Girard

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