Go to main content
6

Brainscan

É.-U. 1994. Drame d'horreur de John Flynn avec Edward Furlong, Frank Langella, T. Ryder Smith. En utilisant un jeu interactif qui donne l'illusion de commettre un meurtre, un adolescent voit surgir de son téléviseur un personnage machiavélique. Alliage peu inspiré des univers du cinéma fantastique et des jeux vidéo. Suspense inefficace et banal. Technique valable. Jeu inégal d'E. Furlong.

16 ans +
6

Brainscan (Brainscan)

16 ans + 16 ans +

É.-U. 1994. Drame d'horreur de John Flynn avec Edward Furlong, Frank Langella, T. Ryder Smith.

En utilisant un jeu interactif qui donne l'illusion de commettre un meurtre, un adolescent voit surgir de son téléviseur un personnage machiavélique. Alliage peu inspiré des univers du cinéma fantastique et des jeux vidéo. Suspense inefficace et banal. Technique valable. Jeu inégal d'E. Furlong.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Andrew Kevin Walker
D'après l'oeuvre de Brian Owens
Photographie :
Musique :
Le jeune Michael se procure par courrier un nouveau jeu interactif, le Brainscan, qui donne à celui qui l'utilise l'illusion parfaite de commettre un meurtre. Dans l'univers de réalité virtuelle où Brainscan le projette, Michael se voit tuer un voisin à coups de couteau. Le lendemain, il apprend avec stupeur qu'un vrai meurtre a été commis dans son quartier dans des circonstances identiques à celles du crime sanglant qu'il a commis en jouant. Lorsque l'adolescent horrifié tente de se débarrasser du jeu, il voit surgir de son téléviseur un curieux personnage, Trickster, qui est le meneur de jeu. Ce cynique individu veut convaincre Michael de récidiver.

L’AVIS DE MEDIAFILM

L'auteur de cette histoire semble avoir voulu créer un nouveau héros de cinéma d'horreur dans la tradition du Freddy des NIGHTMARE ON ELM STREET, c'est-à-dire un personnage à l'humour juvénile et sardonique qui s'amuse à tourmenter les adolescents. L'alliage des univers du cinéma fantastique et des jeux vidéo a sans doute de quoi séduire bon nombre de jeunes, mais à condition que ces derniers ne soient pas trop difficiles, car le scénario est sans inspiration et contient fort peu de scènes vraiment efficaces au plan du suspense et de l'épouvante. L'ensemble se présente assez bien au plan technique; cependant, la qualité des trucages ne rachète pas la banalité du traitement. Le jeune Edward Furlong offre un jeu inégalement convaincant.

Texte : Martin Girard

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3