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Terreur extrême (Primal Fear)

É.-U. 1996. Drame judiciaire de Gregory Hoblit avec Richard Gere, Laura Linney, Edward Norton. Un avocat renommé décide d'assurer gratuitement la défense d'un garçon introverti qui se dit innocent du meurtre dont on l'accuse. Scénario convenu alimenté de rebondissements artificiels. Réalisation compétente. Personnages stéréotypés. Interprétation assez convaincue.

13 ans + (violence)
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Terreur extrême (Primal Fear)

13 ans + (violence) 13 ans + (violence)

É.-U. 1996. Drame judiciaire de Gregory Hoblit avec Richard Gere, Laura Linney, Edward Norton.

Un avocat renommé décide d'assurer gratuitement la défense d'un garçon introverti qui se dit innocent du meurtre dont on l'accuse. Scénario convenu alimenté de rebondissements artificiels. Réalisation compétente. Personnages stéréotypés. Interprétation assez convaincue.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
Steve Shagan
Ann Biderman
D'après le roman de William Diehl
Photographie :
Musique :
Montage :
À Chicago, un jeune enfant de choeur est arrêté pour le meurtre crapuleux d'un archevêque. Voyant dans cette affaire l'occasion de s'offrir une visibilité médiatique, le renommé avocat Martin Vail décide d'assurer gratuitement la défense de ce garçon introverti qui se dit innocent. Durant le procès, Vail devra affronter son ancienne maîtresse qui agit à titre de procureur.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le public américain semble ne jamais se lasser des intrigues judiciaires à base de faits divers scandaleux et même scabreux. Bien qu'il soit purement fictif, le scénario du présent film ne peut manquer d'évoquer divers scandales à saveur sexuelle ayant ébranlé récemment certaines institutions religieuses. Le film pratique cependant un sensationnalisme hollywoodien qui fait totalement abstraction de toutes considérations sociologiques ou psychologiques sérieuses. Le résultat se rapproche plus d'une sorte de téléfilm luxueux peuplé de personnages stéréotypés et alimenté de fausses pistes et de rebondissements artificiels. L'ensemble est mené avec une assurance appréciable, qui relève plus cependant d'un métier solide que d'une quelconque inspiration artistique. Il s'agit là d'un travail routinier et banal qui n'apporte rien de neuf à un genre qui aurait pourtant bien besoin de renouvellement. Les interprètes jouent avec assez de conviction.

Texte : Martin Girard

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