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Le Maître du cauchemar (Wishmaster)

É.-U. 1997. Drame d'horreur de Robert Kurtzman avec Tammy Lauren, Andrew Divoff, Tony Todd. Après s'être échappé d'une opale, un mauvais génie cherche à extorquer un souhait à une joaillière afin de libérer les forces du Mal. Production routinière. Scénario peu rigoureux. Accent mis sur des effets spéciaux inégaux. Mise en scène lourde. Interprétation indifférente.

16 ans + (horreur)
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Le Maître du cauchemar (Wishmaster)

16 ans + (horreur) 16 ans + (horreur)

É.-U. 1997. Drame d'horreur de Robert Kurtzman avec Tammy Lauren, Andrew Divoff, Tony Todd.

Après s'être échappé d'une opale, un mauvais génie cherche à extorquer un souhait à une joaillière afin de libérer les forces du Mal. Production routinière. Scénario peu rigoureux. Accent mis sur des effets spéciaux inégaux. Mise en scène lourde. Interprétation indifférente.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
France-Film
En faisant examiner une étrange opale provenant d'une statuette perse, Alexandra, une joaillière de San Francisco, libère malgré elle un génie maléfique emprisonné depuis des siècles dans le bijou. Capable de réaliser les souhaits des humains, le génie s'exécute mais de manière horrifique. Ainsi, lorsqu'une vendeuse souhaite garder à jamais sa beauté, il la transforme en mannequin d'étalage. Cependant, après avoir pris forme humaine, le monstre poursuit Alexandra afin de la forcer à exprimer un dernier souhait qui libérerait les forces du Mal.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette production "alimentaire" ne bouleversera guère la routine dans laquelle s'est installé le genre horrifique depuis longtemps. Tout au plus, en cas de relatif succès du film, la conclusion confuse de WISHMASTER laisse la porte ouverte à une éventuelle suite. Même si l'on tient pour acquis que les aspects fantastiques du récit relèvent de la pure imagination et n'ont donc que faire de la vraisemblance, il est quand même dommage de constater que les éléments de la réalité quotidienne qui servent de toile de fond comportent également une part incroyable de détails illogiques ou peu plausibles. Ce manque de rigueur scénaristique démontre la faiblesse d'une réalisation plus intéressée par l'étalage gratuit d'effets spéciaux se voulant horrifiants que par le simple fait de raconter une histoire. Sans être tout à fait bâclée, la mise en scène s'avère néanmoins suffisamment lourde pour que la plupart des scènes chocs tombent à plat. Il faut dire aussi que l'arbitraire des développements étouffe toute velléité de suspense. Quant aux acteurs, ils se cantonnent dans les grimaces usuelles.

Texte : Christian Depoorter

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