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Tuer n'est pas jouer (The Living Daylights)

Name: Tuer n'est pas jouer
Director: John Glen
Genre: Drame d'espionnage
Duration: 130 min.

G.-B. 1987. Drame d'espionnage de John Glen avec Timothy Dalton, Maryam D'Abo, Jeroen Krabbé. Après avoir facilité la défection d'un général du KGB, l'agent secret James Bond en vient à douter de la sincérité de ce dernier. Suite de péripéties extravagantes et plus ou moins plausibles. Rythme soutenu. Interprétation sombre et athlétique de T. Dalton.

Tuer n'est pas jouer (The Living Daylights)

Général

G.-B. 1987. Drame d'espionnage de John Glen avec Timothy Dalton, Maryam D'Abo, Jeroen Krabbé.

Après avoir facilité la défection d'un général du KGB, l'agent secret James Bond en vient à douter de la sincérité de ce dernier. Suite de péripéties extravagantes et plus ou moins plausibles. Rythme soutenu. Interprétation sombre et athlétique de T. Dalton.

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Genre :

Drame d'espionnage

Année :

1987

Durée :

130 min.

Réalisation :

John Glen

Scénario :

Richard Maibaum
Michael G. Wilson
D'après l'oeuvre de Ian Fleming

Photographie :

Alec Mills

Musique :

John Barry

Montage :

Peter Davies
John Grover

Pays :

Grande-Bretagne

Distributeur :

MGM

Interprètes :

Timothy Dalton
Maryam D'Abo
Jeroen Krabbé
Joe Don Baker
John Rhys-Davies
Art Malik

L'agent secret James Bond est dépêché à Prague pour y faciliter la défection du général Koskov, officier du K.G.B. L'affaire réussit et Koskov confie aux services secrets britanniques les menées censément dangereuses de son collègue Pushkin. Ayant reçu l'ordre d'éliminer Pushkin, Bond reste sceptique et retourne à Prague pour y prendre contact avec la violoncelliste Kara Milovy, dont l'intervention pendant la fuite de Koskov l'a intrigué. Après avoir entraîné Kara en Autriche, l'agent secret retrouve Koskov au Maroc et découvre qu'il est de mèche avec un important trafiquant d'armes américain.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce quinzième film de la série James Bond, agent 007, marque l'arrivée d'un nouvel acteur dans le rôle du protagoniste. Sombre et athlétique, Timothy Dalton se situe plutôt dans la lignée de Sean Connery que de Roger Moore; il apporte une certaine humanité au personnage dans une suite de péripéties le plus souvent extravagantes qui donnent du travail à un régiment de cascadeurs. S'il n'arrive pas à conférer une véritable plausibilité aux divers incidents qui se succèdent, le réalisateur maintient l'ensemble à un rythme suffisant pour que le spectateur ne se pose pas trop de questions et admire les morceaux de bravoure.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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