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Jusqu'au bout du monde (Bis ans Ende der Welt)

Fr. 1991. Science-fiction de Wim Wenders avec Solveig Dommartin, William Hurt, Sam Neill. Parcourant le monde pour remplir une mission secrète, le fils d'un inventeur est pourchassé par divers individus, dont une jeune femme qui s'est éprise de lui. Nombreuses idées fortes traitées de façon brouillonne. Réalisation extravagante et alerte. Interprétation excellente dans l'ensemble.

Général
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Jusqu'au bout du monde (Bis ans Ende der Welt)

Général Général

Fr. 1991. Science-fiction de Wim Wenders avec Solveig Dommartin, William Hurt, Sam Neill.

Parcourant le monde pour remplir une mission secrète, le fils d'un inventeur est pourchassé par divers individus, dont une jeune femme qui s'est éprise de lui. Nombreuses idées fortes traitées de façon brouillonne. Réalisation extravagante et alerte. Interprétation excellente dans l'ensemble.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Aska
En route vers Paris où elle doit livrer un butin volé, Claire Tourneur croise Sam Farber, un Américain poursuivi par un chasseur de primes. Claire l'aide à s'enfuir puis se jette à ses trousses lorsqu'elle découvre qu'il lui a volé de l'argent La jeune femme obtient l'aide d'un détective berlinois puis celle de son ex-mari. Le trio voyage à travers l'Europe et l'Asie, mais l'homme leur glisse toujours entre les doigts, au grand désespoir de Claire qui n'a pu s'empêcher de s'éprendre de lui. Ayant fini par gagner la confiance de Sam, la jeune femme le suit en Australie. Sam amène alors Claire dans le refuge de ses parents où il doit remettre à son père l'invention qui permettra à sa mère de voir maigre sa cécité.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Wim Wenders vient de réaliser son premier film brouillon. Certes, on y retrouve ses thèmes préférés (le voyage comme quête existentielle, la survie du cinéma, la solitude confrontée au désir...) et le scénario regorge d'idées fortes, en particulier au niveau du questionnement qu'il propose sur notre fin de millénaire, mais le cinéaste n'a pas su donner à son discours une forme cohérente. Cela dit, la réalisation ne manque pas d'entrain et démontre parfois le talent visionnaire de Wenders. L'interprétation est excellente, à l'exception de celle de Dommartin.

Texte : Johanne Larue

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