C'est elle (She's the One)

Name: C'est elle
Director: Edward Burns
Genre: Comédie de moeurs
Duration: 97 min.

É.-U. 1996. Comédie de moeurs de Edward Burns avec Edward Burns, Mike McGlone, John Mahoney. Deux frères, l'un chauffeur de taxi, l'autre courtier à Wall Street, éprouvent chacun des difficultés à vivre une relation amoureuse stable. Dialogues à l'humour savoureux. Rythme allègre. Mise en scène peu élaborée reposant sur une très bonne direction d'acteurs.

C'est elle (She's the One)

Général

É.-U. 1996. Comédie de moeurs de Edward Burns avec Edward Burns, Mike McGlone, John Mahoney.

Deux frères, l'un chauffeur de taxi, l'autre courtier à Wall Street, éprouvent chacun des difficultés à vivre une relation amoureuse stable. Dialogues à l'humour savoureux. Rythme allègre. Mise en scène peu élaborée reposant sur une très bonne direction d'acteurs.

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Genre :

Comédie de moeurs

Année :

1996

Durée :

97 min.

Réalisation :

Edward Burns

Pays :

États-Unis

Distributeur :

20th Century Fox

Interprètes :

Edward Burns
Mike McGlone
John Mahoney

Mick et Francis Fitzpatrick se réunissent fréquemment avec leur père pour de petites excursions de pêche sur le bateau de ce dernier. Mick, l'aîné, qui se remet à peine d'une rupture vieille de trois ans, épouse une étudiante qu'il a cueillie la veille dans son taxi. Des complications surviennent le jour où il découvre que Francis, courtier à Wall Street, a délaissé sa femme pour une blonde incendiaire qui se révèle être son ancienne flamme.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Après Les Frères McMullen, premier long métrage fort remarqué par la critique, Edward Burns poursuit ses réflexions sur les rapports amoureux et familiaux dans le milieu catholique et irlandais de la côte est américaine. Avec ce deuxième essai, Burns réussit à resserrer le scénario en l'amenant un peu plus loin que le précédent tout en maintenant un rythme allègre et en évitant les redites inutiles. Si dans le premier film, les tribulations des frères s'articulaient autour de la mère, cette fois le père joue le rôle de catalyseur. La mise en scène demeure peu élaborée, Burns laissant encore une fois, un peu à la façon d'un Rohmer, toute la place à ses abondants dialogues à l'humour savoureux et au jeu des comédiens qu'il dirige admirablement. Le trio de jeunes actrices complète à merveille le jeu des trois protagonistes masculins.

Texte : Jean Beaulieu

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