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Love Crimes

É.-U. 1992. Drame policier de Lizzie Borden avec Sean Young, Patrick Bergin, Arnetia Walker. Une jeune procureure s'efforce d'inculper un criminel qui se fait passer pour un photographe afin d'arnaquer des femmes dont il abuse sexuellement d'abord. Scénario invraisemblable. Psychologie des personnages confuse. Réalisation consciencieuse mais peu imaginative. Interprétation superficielle.

16 ans +
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Love Crimes (Love Crimes)

16 ans + 16 ans +

É.-U. 1992. Drame policier de Lizzie Borden avec Sean Young, Patrick Bergin, Arnetia Walker.

Une jeune procureure s'efforce d'inculper un criminel qui se fait passer pour un photographe afin d'arnaquer des femmes dont il abuse sexuellement d'abord. Scénario invraisemblable. Psychologie des personnages confuse. Réalisation consciencieuse mais peu imaginative. Interprétation superficielle.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Max Films
Procureur à Atlanta, Dana Greenway semble prête à tout pour faire inculper les criminels dont les dossiers se retrouvent sur son bureau. David Hanover est un de ceux-là: il se fait passer pour un photographe de mode afin d'arnaquer des femmes dont il abuse sexuellement d'abord pour les voler ensuite. David est cependant intouchable aux yeux de la loi, car aucune de ses victimes n'a osé porter plainte. En menant son enquête, Dana rencontre le photographe par hasard et s'arrange pour devenir sa prochaine victime dans l'espoir de pouvoir l'inculper ensuite. Mais David devine son manège et la retient alors prisonnière.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Cette histoire est inspirée d'un fait divers réel, mais on peut supposer que les auteurs ont largement pimenté la réalité, sinon comment expliquer que le scénario soit à ce point invraisemblable? Le récit est raconté de façon plus mécanique que méthodique et les enjeux dramatiques sont souvent plutôt vagues. Le résultat est donc assez tiède sur le plan du suspense et à peu près nul en ce qui concerne l'émotion. La psychologie confuse des personnages n'arrange rien. Techniquement, c'est du travail de professionnels consciencieux mais dénués d'imagination réelle, hormis quelques effets de montage plus recherchés que le reste. Sean Young joue avec un certain aplomb mais sans vraiment fouiller son personnage.

Texte : Martin Girard

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