Roméo pris au piège (Romeo Is Bleeding)

Name: Roméo pris au piège
Director: Peter Medak
Genre: Drame policier
Duration: 108 min.

É.-U. 1993. Drame policier de Peter Medak avec Gary Oldman, Lena Olin, Annabella Sciorra. Un policier corrompu a maille à partir avec une tueuse à gages qu'il tente d'abattre pour le compte d'un chef de la mafia. Intrigue invraisemblable développée sur un mode ludique. Traitement peu banal des codes du film noir. Climat cauchemardesque. Interprétation dans le ton voulu.

Roméo pris au piège (Romeo Is Bleeding)

13 ans + (violence)

É.-U. 1993. Drame policier de Peter Medak avec Gary Oldman, Lena Olin, Annabella Sciorra.

Un policier corrompu a maille à partir avec une tueuse à gages qu'il tente d'abattre pour le compte d'un chef de la mafia. Intrigue invraisemblable développée sur un mode ludique. Traitement peu banal des codes du film noir. Climat cauchemardesque. Interprétation dans le ton voulu.

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Genre :

Drame policier

Année :

1993

Durée :

108 min.

Réalisation :

Peter Medak

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Cineplex-Odeon

Interprètes :

Gary Oldman
Lena Olin
Annabella Sciorra

Jack Grimaldi est un sergent de police qui n'hésite pas à révéler aux pontes de la mafia, moyennant rémunération, les cachettes de ceux qui doivent témoigner contre eux. En outre, marié à la jolie Natalie et profitant des charmes de sa maîtresse Sheri, Jack a tout pour être heureux. Tout bascule lorsqu'il rencontre Mona Demarkov, un témoin important qu'il est chargé de protéger. Le caïd Don Falcone paie Jack pour éliminer Mona, mais cette dernière lui offre une somme beaucoup plus importante pour faire croire a sa mort. Subjugué par Mona, Jack accepte, sans se douter de quoi est capable la maléfique créature.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Comme son titre l'indique, ce nouveau film du réalisateur de THE KRAYS fait passer un mauvais quart d'heure à son personnage principal. Malgré le nombre ahurissant d'invraisemblances que contient l'intrigue, un engrenage infernal s'établit quand même sur un mode ludique, réservant force rebondissements au spectateur complice. Mis à part quelques effets tape-à-l'oeil, Medak sait créer dans les moments cruciaux un climat des plus cauchemardesques. Or, malgré le recours à une ambiance musicale et à une narration en voix off qui évoquent irrésistiblement le film noir, l'action emprunte peu ou prou le rythme propre à ce genre et partant crée un décalage peu banal. Des interprètes talentueux s'accordent parfaitement au ton particulier de l'ensemble.

Texte : Louis-Paul Rioux

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