The Private Files of J. Edgar Hoover

É.-U. 1977. Drame biographique de Larry Cohen avec Broderick Crawford, Rip Torn, Michael Parks. Evocation de la carrière d'un ancien directeur du FBI, J. Edgar Hoover. Sorte de reportage à sensations mettant l'accent sur les aspects défavorables du personnage. Construction dramatique parcellaire. Mise en scène hâtive. Choix judicieux de l'acteur principal.

The Private Files of J. Edgar Hoover (The Private Files of J. Edgar Hoover)

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É.-U. 1977. Drame biographique de Larry Cohen avec Broderick Crawford, Rip Torn, Michael Parks.

Evocation de la carrière d'un ancien directeur du FBI, J. Edgar Hoover. Sorte de reportage à sensations mettant l'accent sur les aspects défavorables du personnage. Construction dramatique parcellaire. Mise en scène hâtive. Choix judicieux de l'acteur principal.

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Genre :

Drame biographique

Année :

1977

Durée :

112 min.

Réalisation :

Larry Cohen

Pays :

États-Unis

Distributeur :

Ambassador

Interprètes :

Broderick Crawford
Rip Torn
Michael Parks

Lorsque, en 1972, J. Edgar Hoover meurt subitement après avoir été à la tête du célèbre "Federal Bureau of Investigation" pendant quarante-quatre ans, diverses personnes se préoccupent de mettre la main sur les dossiers qu'il a réunis. Un ancien agent de F.B.I. rappelle les principales étapes de la carrière de Hoover. Il démontre que, par la mise au point de dossiers confidentiels, l'homme a pu tenir tête à divers politiciens importants et conserver sa mainmise sur cette puissante organisation policière fédérale.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Spécialisé dans les films d'horreur à rabais, Cohen n'était pas le réalisateur rêvé pour évoquer de façon objective la carrière du célèbre homme de loi américain. Il se cantonne dans l'équivalent d'un reportage à sensations, donnant audience à divers ragots et mettant l'accent sur les aspects défavorables du personnage. La construction du film est parcellaire et l'on s'y perd dans un flot d'incidents et de personnages desservis par une mise en scène hâtive. Le choix de l'acteur principal apparaît pourtant assez judicieux.

Texte : Robert-Claude Bérubé

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