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La Machine

Fr. 1994. Drame fantastique de François Dupeyron avec Gérard Depardieu, Nathalie Baye, Didier Bourdon. À la suite d'une expérience scientifique, l'esprit d'un meurtrier se retrouve dans le corps d'un psychiatre et vice-versa. Scénario peu crédible et archiprévisible. Situations forcées et parfois ridicules. Un certain climat d'inquiétude. Interprètes de talent.

16 ans + (violence)
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La Machine (La Machine)

16 ans + (violence) 16 ans + (violence)

Fr. 1994. Drame fantastique de François Dupeyron avec Gérard Depardieu, Nathalie Baye, Didier Bourdon.

À la suite d'une expérience scientifique, l'esprit d'un meurtrier se retrouve dans le corps d'un psychiatre et vice-versa. Scénario peu crédible et archiprévisible. Situations forcées et parfois ridicules. Un certain climat d'inquiétude. Interprètes de talent.

Année :
Durée :
Réalisation :
Scénario :
François Dupeyron
D'après le roman de René Belletto
Photographie :
Musique :
Montage :
Le psychiatre Marc Lacroix a mis au point une machine qui permet de transférer l'esprit d'un homme dans le corps d'un autre. Il décide d'expérimenter son invention avec un dangereux psychopathe. À l'issue de l'opération, l'esprit de Marc se retrouve dans le corps du meurtrier et vice-versa. Et voilà que le criminel parvient à s'enfuir avant que le médecin ait eu le temps de renverser la situation.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Le thème qu'aborde cette incursion française dans le domaine de la science-fiction et de l'horreur n'a absolument rien de neuf. Le transfert d'esprit d'un corps à l'autre et la possession d'un être par une force diabolique sont des sujets qui ont été abordés tellement de fois, et de manières si diverses, au cours de l'histoire du cinéma, qu'un renouvellement s'avère toute une gageure. Or, l'auteur du présent film n'a pas été à la hauteur de ce défi. Il propose une oeuvre lourde et archiprévisible qui ne contient pas une once d'originalité. Les prémisses scientifiques du scénario sont peu crédibles et les développements s'en ressentent, puisqu'ils apparaissent forcés et parfois même ridicules. C'est dommage, car des interprètes de grand talent participent à cette aventure décevante, parvenant tant bien que mal à conférer un peu d'épaisseur psychologique à leurs personnages. La musique et la photographie contribuent au climat d'inquiétude, sans parvenir à racheter la faiblesse du matériel.

Texte : Martin Girard

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