Apprentis chevaliers (Kids of the Round Table)

Name: Apprentis chevaliers
Director: Robert Tinnell
Genre: Comédie fantaisiste
Duration: 89 min.

Can. 1995. Comédie fantaisiste de Robert Tinnell avec Johnny Morina, Malcolm McDowell, Michael Ironside. Après avoir découvert une épée magique, un gamin du XXe siècle doit se montrer digne de la confiance que lui accorde Merlin l'enchanteur. Scénario assez fade et moralisateur. Traitement maladroit. Interprétation mièvre.

Apprentis chevaliers (Kids of the Round Table)

Général

Can. 1995. Comédie fantaisiste de Robert Tinnell avec Johnny Morina, Malcolm McDowell, Michael Ironside.

Après avoir découvert une épée magique, un gamin du XXe siècle doit se montrer digne de la confiance que lui accorde Merlin l'enchanteur. Scénario assez fade et moralisateur. Traitement maladroit. Interprétation mièvre.

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Genre :

Comédie fantaisiste

Année :

1995

Durée :

89 min.

Réalisation :

Robert Tinnell

Pays :

Canada
Québec

Distributeur :

France-Film

Producteurs :

Interprètes :

Johnny Morina
Malcolm McDowell
Michael Ironside

Harcelé par des voyous, Alex trouve refuge dans un bois où il y découvre une épée qui, en l'arrachant du sol, fait apparaître Merlin l'enchanteur. Ce dernier annonce au gamin que l'épée lui conférera, s'il est brave, la force de lutter contre les injustices. Après s'être emporté contre son meilleur copain, Alex a l'occasion de se racheter en mettant fin à une prise d'otages par des cambrioleurs.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Ce film fauché ne propose vraiment rien à se mettre sous la dent, si ce n'est l'introduction où l'on assiste à une bataille d'enfants autour d'un château-fort de fortune, séquence qui renvoit à la bien plus convaincante GUERRE DES TUQUES. De bien malheureux et rares effets spéciaux n'arrivent également pas à susciter la moindre passion pour cette histoire mal écrite, fade et au ton moralisateur pesant. Bouclées sans grand souci d'inventivité ou d'efficacité, les scènes manquent constamment du punch nécessaire pour séduire le public juvénil visé. Réduits à de vulgaires caricatures, les interprètes font pour leur part piètre figure. Il est à se demander pourquoi un acteur comme Malcolm McDowell est allé perdre son talent dans une telle production.

Texte : Christian Depoorter

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