Go to main content
6

Kayla

Can. 1997. Aventures de Nicholas Kendall avec Tod Fennell, Henry Czerny, Meredith Henderson. En 1920 dans un village québécois, un jeune garçon entraîne un chien sauvage à tirer un traîneau. Histoire simpliste et mélodramatique. Nombreux clichés. Réalisation manquant de rythme. Interprétation sincère de personnages schématiques.

Général
6

Kayla (Kayla)

Général Général

Can. 1997. Aventures de Nicholas Kendall avec Tod Fennell, Henry Czerny, Meredith Henderson.

En 1920 dans un village québécois, un jeune garçon entraîne un chien sauvage à tirer un traîneau. Histoire simpliste et mélodramatique. Nombreux clichés. Réalisation manquant de rythme. Interprétation sincère de personnages schématiques.

Genre :
Année :
Durée :
Réalisation :
Pays :
Distributeur :
Film Tonic
En 1920, dans un village des Cantons de l'Est, le jeune Sam MacKenzie espère toujours que son père, un explorateur porté disparu dans le Grand Nord, va un jour revenir. Sa mère s'est remariée avec le docteur Asa, qui fait de son mieux pour se gagner l'affection du gamin. Sam adopte un chien sauvage qu'il baptise Kayla. Il entreprend alors de l'entraîner à tirer un traîneau qu'il a construit avec l'aide de sa copine Jaynie. Mais un jour, le père de la fillette tire sur Kayla qu'il accuse de mettre en danger son bétail.

L’AVIS DE MEDIAFILM

Alignant les clichés de façon presque méthodique, cette histoire mélodramatique ne s'éloigne jamais des conventions les plus usées du genre. Pas la moindre idée neuve, pas la moindre étincelle d'imagination, de fantaisie ou d'humour. Les conflits dramatiques sont simplistes, en plus d'être incroyablement épisodiques. Parfois une crise entre deux personnages éclate dans une scène, pour être oubliée complètement dans la suivante. Le scénario est évidemment plein de bons sentiments, abreuvant le spectateur de leçons de vie à rabais. La réalisation profite amplement du contexte hivernal et de la beauté indéniable du chien vedette, mais elle manque de punch et de rythme. Il faut dire que toute la première heure du film constitue une mise en train laborieuse. Les interprètes jouent avec sincérité des personnages dessinés de façon schématique et souvent inconsistante.

Texte : Martin Girard

L'infolettre de Mediafilm

Pour être tenus informés des sorties de films, toutes plateformes confondues, rien de mieux que l'info-lettre de Mediafilm. Abonnez-vous. C'est gratuit!

CONTACTEZ-NOUS

1340, boulevard St-Joseph Est, Montréal
Québec (Canada) H2J 1M3