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Fiorile

It. 1993. Chronique de Paolo Taviani, Vittorio Taviani avec Claudio Bigagli, Galatea Ranzi, Michel Vartan. En se rendant en Toscane pour y visiter son père, un homme raconte à ses enfants la destinée tragique de quelques-uns de ses ancêtres. Sorte de conte moral sur l'amour et la richesse. Un certain panache dans la mise en scène. Quelques lourdeurs. Très belles images. Bonne présence des interprètes.

Général
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Fiorile (Fiorile)

Général Général

It. 1993. Chronique de Paolo Taviani, Vittorio Taviani avec Claudio Bigagli, Galatea Ranzi, Michel Vartan.

En se rendant en Toscane pour y visiter son père, un homme raconte à ses enfants la destinée tragique de quelques-uns de ses ancêtres. Sorte de conte moral sur l'amour et la richesse. Un certain panache dans la mise en scène. Quelques lourdeurs. Très belles images. Bonne présence des interprètes.

Genre :
Année :
Durée :
Distributeur :
Alliance Atlantis Vivafilm
Accompagné de sa petite famille, Luigi Benedetti s'en va visiter son vieux père en Toscane. Durant le voyage, il raconte à ses enfants une légende familiale dont le récit débute en 1797. Jean, un jeune militaire français, s'éprend de la paysanne Elisabetta Benedetti. Durant leurs ébats amoureux, l'officier oublie de surveiller la réserve d'or qu'on lui a confiée et dont s'empare le frère de la jeune fille pour assurer à jamais la richesse de sa famille. Jean est fusillé et Elisabetta meurt quelques mois plus tard en donnant naissance à leur enfant Ses descendants vivront des destinées tragiques que d'aucuns attribuent à la malédiction de l'or volé.

L’AVIS DE MEDIAFILM

S'inspirant d'une vieille légende qu'ils connaissent depuis leur enfance, les frères Taviani proposent une sorte de conte moral sur l'amour et la richesse qui retrace l'histoire d'une famille à travers deux siècles. Maigre l'apparente ambition du propos, le récit est raconté en toute simplicité, sans grande prétention au plan du contenu ou de la forme. Certains passages possèdent du panache dans la mise en images et dans le mouvement de la mise en scène, mais d'autres s'avèrent plutôt lourds et languissants. Comme en plus le film se divise en sketches de valeur inégale, l'intérêt du spectateur aurait plutôt tendance à vaciller. Les images sont tout de môme très belles et les interprètes ont beaucoup de présence.

Texte : Martin Girard

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